Marcow

Tout et n'importe quoi

Lundi 5 mai 2008 à 3:26

Bon, des choses remontent mes batteries en ce moment! Le départ approche mais je suis à peine entrainé. J'ai eut un élan de motivation la semaine dernière qui a durée 1 ou 2heures mais ayant très peu dormit je n'ai pas pu continuer dans ma parfaite lancé. Rien que l'idée que le lendemain puisse être chargé m'empêche de dormir par l'excitation et la peur. En principe la première urgence à faire serait d'aller trouver un professionnel type psy qui me coach pour que mon morale ne retombe pas au plus bas toutes les 5 minutes... Car comme disait mon père il y a un déjà un certain nombre d'années: "Marcow c'est la voiture de course, gros moteur, systèmes électroniques, tout options, ultra équipée mais l'embrayage ne marche pas!". Bref, ça ronronne ça fait des beaux bruits de moteur mais ça avance pas d'un centimètre! B*rd*l pourquoi le mode d'emploi n'était pas fournit avec le machin?

En attendant c'est cool je fait déco! On aime bien m'avoir en soirée, ça met de l'ambiance. Mais on ne peut même pas dire qu'il n'y a rien sous le capot, c'est juste marqué HS sur le moteur. En attendant je pousse le bazar à la main, tant qu'on ne capte rien ça va, personne ne se rend compte que pour la moindre action je suis tout en sueur! Tout me demande un effort, c'est horrible... La vie me pèse à tout moment sauf quand j'en fait abstraction ou que je passe dans un état second. Sachant que la première option coute plus d'énergie que ce qu'elle produit, comme je ne sais plus quel pétrole tellement impure qu'il en faut quasiment la même quantité pour le raffiner. Pendant un temps je me croyais feignant mais non c'est impossible, ou pas dans la définition que je m'en fait. Quand on arrive à un stade ou on a la flemme de manger, de prendre soin de soit, de se faire plaisir c'est trop grave. Car non je ne suis pas du tout heureux à tourner au ralenti. Je suis dans le déni de moi même et j'ai tellement souhaité la mort que j'ai du mal à faire volte face. Pas seulement ma mort mais également celle de mon père, lorsqu'il m'avait encore en son pouvoir... Maintenant je sais qui je suis et ce que je suis capable de faire pour la vie, l'humanité, les gens de bien, les victimes mais également contre la destruction, le mal, les bourreaux. Beaucoup de gens sont aveugles ou se voilent la face pour protéger leurs intérêts. Leur confort, leur possession sont bien plus importants pour eux que le bien. Pendant longtemps je les ai haït, jugeant 99% des gens comme des pantins sans âme. Ma déchéance que j'offre en spectacle est en parti un moyen de montrer au monde (par le biais de mes proches) qu'il y a un problème et que je ne participerai pas si facilement au maintient d'un système aussi pourri! Quand je dis je c'est bien sûr ce que je représente, le mec trop gentil, trop fun, pouvant parler de tout sans juger, sur qui on peut compter, sur qui on peut tout se permettre, mais dans le fond on s'en fou un peu...


Je leur montre mon meilleur jour pour leur montrer de quoi je suis capable et ensuite leur montrer ce que je fait de toute l'estime qu'ils ont pour moi: de la merde! Car vôtre (je m'adresse à eux) amour pour moi vous pouvez vous le garder bande d'égoïste! Dés qu'il faut un pote pour compatir à vos problèmes je deviens vôtre meilleur ami! Quand vous êtes énervé de vôtre journée, rien de tel qu'aller vous défouler sur vôtre fils, après tout ce n'est qu'une partie de vous même, faut pas se gêner! Ça pour la gène je n'en attendant pas beaucoup de vous, sauf lorsque vous vous rendez compte que ma vie ne correspond pas à l'image de ce que quelqu'un "comme moi" est sensé avoir... Je serai toujours gêné avant vous lorsque vous serez irrespectueux envers moi, que vôtre intérêt pour moi n'est motivé que parce que j'accours toujours pour vous donner ce que vous attendez de moi! Ah, elle est belle l'amitié quand ça va dans son sens, mais quand il faut faire des efforts sur soit, pour essayer de me comprendre, pour m'encourager, me soutenir, c'est autre chose... C'est sûr je suis parfois pour vous une sorte de surhomme impressionnant lorsqu'il s'y met, alors vous êtes déçu lorsque finalement il se casse la gueule: "Ah en faite il était comme ça...". Mais personne ne me tendra la main pour partager ma peine, car dans vôtre monde c'est chacun pour sa gueule, ou plutôt pour Vôtre gueule. Non, vous êtes trop bien dans vôtre merde, vous vous complaisez dans la médiocrité bien confortable et devenez agressif dés qu'il faudrait se remettre en question. Vous voudriez que je devienne comme vous? Allez tous vous faire f***re, vous ne m'aurez pas! Jamais! Mais je ne souhaite plus haïr vos trahisons mais passer à autre chose, je n'ai plus de temps à perdre avec des gens de vôtre espèce. En attendant vous croyez que cette pseudo relation est de l'amitié? C'est pour moi plus de la prostitution affective pour survivre en attendant de reconstruire ma vie qu'autre chose... Vous ne vous rendez compte de rien tellement vous ne comprenez rien aux relations saines. J'ai envie de dire que c'est vous les merdes! Bande de moralisateurs, de lâcheurs, d'égocentriques, de profiteurs, de manipulateurs, de jaloux, de faux-cul, de névrosés, d'abrutis et surtout de faux potes, de faux pères, de pseudo mères! J'espère vous avoir bien déçu car vous n'imaginez pas à quel point c'est réciproque... Je ne m'abaisserai pas à rentrer dans le détail car la plupart de mes relations sont toutes parties dans le même modèle. Même toi S... Finalement tu aura bien profité, à tout niveau... Tu te fou bien du monde et j'espère que tu changera. Ton vécu ne te donne pas tout les droits! J'ai encore été trop compréhensif, dés le départ à tout pardonner malgré mes pétages de câbles. J'espère juste que la fin de nôtre histoire t'aura fait un peu comprendre, mais je n'y crois guère car si j'avais encore le moindre espoir il y aurait encore un "nous"...

Bilan: la plupart de mes relations sont pourries sauf celles que je protège en gardant mes distances de peur de m'attacher et d'attendre trop de personnes qui ne me donneront jamais ce dont j'ai besoin. En amour comme en amitié, il ne faut surtout pas se donner au premier venu qui nous montre de l'attention. Outre le faite qu'on perd son temps à être seul à essayer de construire quelque chose qui est bancal, mais en plus on attire les gens qui ne savent pas faire d'effort pour se faire aimer! En gros on devient le SEUL meilleur ami de ces gens là et s'ils peuvent rencontrer des gens par mon biais c'est tout bénef pour eux...
Malheureusement je suis sentimental je n'arrive pas à couper les ponts. Le pire étant mon ancien coloc Benj qui a encore chez lui une télé qui valaient dans les 1500€ à une époque, mon aspirateur, un grand tapis, mon ancienne vaisselle. Je n'ose même pas essayer de lui reprendre de peur qu'il prenne ça pour un acte de rupture de relation... Ça parait dingue de l'extérieur mais par moment j'ai eut comme l'impression que ce mec était gay tellement ils avaient des attitudes excessives. Quel p**tin de mytho celui là tiens, comment il m'a descendu par derrière ce traire, pour bien se faire voir de l'autre moche narcissique... Moi qui ai besoin d'amour comme essence pour avancé, elle est bien impure ma foi. J'en suis devenu aigris tiens, à force d'être déçu. Il faut que j'apprenne à puiser mon énergie vitale dans des sources pures. Le mieux serait de le puiser en moi, et dans ce qui m'entoure sans essayer de me l'approprier. Stop aux vampires qui me pompent mon énergie dés que j'en ai besoin. Quand je serai le moral à zéro et qu'un Benj me dira: "Vient on sort, ça te changera les idées, y a une soirée qui m'intéresse là bas!" ça sera le coup de boule rotatif dans leur face!

Voilà! ceux après qui j'en avais s'en sont pris plein la tronche, mais ça fait du bien! Alors si y a des amateurs dites le moi tout de suite pendant que je suis chaud! Non? Ça tombe bien je vais me coucher! Peut-être seul, peut-être déprimé, mais au hors de portée des nuisibles...
 Et puis je n'ai pas du tout envie de maltraiter ceux qui auront subit tout cette article! Non, pour les gentils qui s'intéressent sincèrement à leurs proches, c'est plutôt free hug et plein de bisous!
Les antipathiques, les asociaux de tout poil n'ont qu'à rester entre eux et s'entre-pourrir, ça ne sera bientôt plus mon problème. J'en prend mon blog à témoin! (le pauvre vieux...)

Dimanche 4 mai 2008 à 23:06

Ah quelle belle journée! à glandouiller... Bizarrement la chaleur me décontracte et me fait rêver à des jours meilleurs. Pourtant les prochaines années risques d'être corsée, si je fini par lancer le top départ un jour! Il y en a eut quelques un déjà qui avaient l'air prometteur mais il a fallu peu de chose pour que tout s'effondre. Mais je sais que je peux le faire, mais la prochaine fois il n'y aura plus d'abandon.
Enfin, beaucoup de rêves demandent du temps et je n'en ai plus. Cependant les moyens n'y sont pas pour rien et à ce niveau il y a des limites, même si je gagnais au loto il n'y en aurait surement jamais assez, même si j'ai l'habitude de me contenter de peu pour être satisfait. Alors reprenons le délire d'une copine avec qui on s'était créé un monde merveilleux dénommé: Mytholand! On est même pas au paradis, où on s'emmerde à longueur de temps avec des petites ailes et même pas de ... enfin vous m'aurez compris.
A Mytholand on a 50 vies en même temps si on veut, c'est l'éclate! Cet été par exemple j'ai prévu 3 mois de vacances freestyle! Tout ça avec Juliette bien entendu puisque depuis toutes ses années de bonheur, on s'est marié déjà trois fois (oui les mariages on fait bien la fête alors j'en ai profité à Mytholand tout est gratuit et merveilleux!). On se racontera encore une fois sur la plage au coin du feu, comment j'ai failli me défiler alors que ça faisait 1 semaines que je la cherchais dans les rues du centre! On rigolera bien en pensant que nôtre histoire aurait pu n'avoir durée qu'une nuit... Puis on s'endormirait l'un contre l'autre comme au premier jour. A l'aube je partirai directement affronter les éléments déchainés avec ma planche préférée (oui dans ce monde j'ai une dizaine de planches selon mon humeur), sur une plage déserte avec la mer comme adversaire et pour spectateur le soleil. Parfois même un dauphin égaré viendrait me donner la leçon en jouant à sauter au dessus des vagues, car oui dans cette partie du globe ils viennent souvent prêt des plages. Même qu'un d'eux me reconnaitrait d'un année à l'autre. Midi sonnerait la trêve et mon amour viendrait partager un délicieux repas avec moi après admirer deux ou trois gamelles... Car oui, même à Mytholand je resterai un peu boulet par moment! Ça ne serait pas vraiment ma faute de toute façon car je n'aurais surement pas pris la bonne planche pour ce type de vague... Après une petite
(ou longue ça dépend...) pause, bien mérité nous partitions à l'aventure explorer un sommet qu'on devrait atteindre en traversant la jungle par un petit chemin fréquenté uniquement par les indigènes de l'ile. Nous aurions bien entendu fini par nous perdre, car je me serai trompé de raccourci, ou alors le chef du village m'aurait menti... Peut-être que j'aurai mal compris ses instructions, mais il aurait peut-être un dialecte particulier que même moi avec mes 15 langues parlés j'aurai du mal à comprendre!

Enfin, heureusement nous aurions prévu la tente et de quoi manger le soir, au cas où...
Après une petite discution pour l'emplacement du campement nous aurions trouver un coin sympa, prêt d'un petit ruisseau dans lequel nous aurions pu nous rafraichir gaiement! Puis, je ne sais pas pourquoi je me serai amusé à faire un mini barrage de pierre comme quand j'étais gamin pendant que ma chérie serait en train de s'occuper de préparer le diner. Je me serai ensuite énervé car un poisson bizarre m'aurait mordu le gros orteil! Ce qui aurait fait rire la cuisinière essayant de voir si c'était grave. Heureusement elle aurait toujours sa trousse à pharmacie miniature avec la pommade spéciale kiguéritout! Après quelques cris non contenus ayant fait fuir les animaux curieux, le malheureux appendice aurait fini par dégonfler légèrement... Une fois rassasié, elle aurait exigé un massage en remerciement des services rendues. Puis nous aurions bouquiné aux dernières lueurs du jour, moi sur mon pavé traitant de la gestion d'entreprise et ma femme sur un magasine de beauté...
Au bout de cinq minutes, j'aurai fini par faire surchauffer mon neurone et aurait essayé de négocié son magazine
contre avantage en nature. L'offensive ratée, j'aurai fini par me mettre contre elle et m'amuser avec sa chevelure, en écoutant le brouhaha de la faune alentour. Je penserai alors avec nostalgie à quelques jeux vidéo qui m'avaient pris temps de temps dans ma jeunesse... Heureusement je serai désormais loin de ces mondes virtuels et je jetterai un coup d'œil aux articles de ce stupide magasin féminin. Puis, naturellement je commencerai à essayer de déconcentrer la lectrice à coup de bisous, ce qui terminerait bien entendu mal... Malgré quelques cris étranges au fond de la nuit, le sommeil aurait été réparateur. Après avoir récupéré à un bébé koala fugueur, une chaussette de ma femme qu'elle aurait mis à aérer dehors; nous serions reparti de bon matin, achever nôtre périple tropico-montagnard. Arrivé au sommet nous aurions mangé et attendu l'hélicoptère qui devrait nous déposer directement sur nôtre bateau.


Cap vers Ibiza moussaillons! Nous aurions rejoints des amis pour les plus grosses soirées de la saison avant de repartir pour le Japon. En effet, comme tout les ans j'aurai assisté au stage intensif de Kendo avec les plus grands maîtres. Puis quelques jours de méditation Zen avant de retourner chez nous pour s'occuper un peu de nos enfants restés chez les parents. Eh oui, à Mytholand on a des enfants épanouis sans en avoir les inconvénients!

Enfin pour aujourd'hui c'est fini, car je fatigue! Plutôt que regarder la télé ou me faire une partie, le gros film à la demande c'est pas mal aussi!

Dimanche 4 mai 2008 à 4:03

L'horreur continue, encore et encore... C'est impossible, inconcevable que je s'acharne encore à aller au bout du bout, le fond du fond à bruler du temps, gâcher ma vie. Je devrais aller me coucher ou écrire un article politiquement correct me donnant l'impression d'avoir encore un semblant de fierté et d'intérêt pour ce que je vie. La mort ne serait pas forcement mieux mais on en est pas loin. J'ai presque oublié ce qu'était une vie normale avec le temps. Ma vie semble en pause depuis des années mais la vie tourne et ne m'attend pas, ne m'attend plus même. Je suis devenu ce que je détestais le plus au monde en justifiant mon comportement par une rébellion contre ce qui perturbait ma vie. J'espère mon futur changement comme l'aboutissement de cette expérience au delà du temps, mais il sera peut-être trop tard pour vivre ce à quoi j'aspirai le plus. Tout ce retard à rattraper, ce gachi de temps me semble irrattrapable. J'aimerai être capable d'en pleurer mais je suis tellement détaché de ma propre existence que je ne peux plus exprimer ma douleur. J'estime d'ailleurs ne pas avoir le droit de m'apitoyer sur mon sort. Quand on s'acharne à détruire sa vie, on ne peut pas se prendre en pitié. Ce qui m'attriste le plus c'est d'être seul un samedi soir sans même avoir essayer de m'épargner la souffrance de la solitude. Je devrais être en boite à danser ou à une soirée comme celle où j'ai rencontré S... il y a plus d'un an (déjà). Avec elle tout mes soucis s'envolaient, lui faire un câlin, la cajoler me donnait une raison d'être et plus rien d'autre ne comptait que nous deux. J'aimerai qu'elle soit là mais continuer à partager une intimité mais il faut tourner la page. Même si cela ne se limitait plus qu'à la phase câlin amical qu'autre chose, cela continue à faire durée l'attachement exclusif d'un couple. Difficile après de reconstruire quelque chose avec quelqu'un d'autre si on repense toujours à l'autre... Enfin à son sens le câlin c'est comme une promesse d'un futur entre nous. Comme si le faite de prendre soin d'elle n'avait de sens que si cela durait. Cela me fait culpabiliser, je ne peux pas la réconforter et lui donner de l'amour gratuitement sans qu'elle n'en attende plus et surtout pour toujours... Ahhh, ça me rend encore plus triste de me dire que je dois garder ce que j'ai besoin de donner, car au final ça la rend malheureuse de savoir qu'elle ne m'aura jamais entièrement.


Depuis longtemps je sais que je dois faire attention à qui je donne un peu de mon trop plein d'amour, car si elles craquaient déjà pour moi elles peuvent en devenir complément accro. A la réflexion j'ai l'impression de préférer donner que recevoir: c'est peut-être une question d'habitude aussi... Je donne ce que j'aurai voulu avoir par certaines personnes. Parfois je me dis que c'est cruel de donner un tas d'affection qu'on gardait depuis des années et qu'on refourgue à la première venue qui croit qu'on l'aime vraiment... En même temps aimer, c'est donner de l'amour donc c'est ce que je fait en faisant ça. Alors comment expliquer que je ne ressens pas la même chose pour une fille où mon cœur semble crier: attention c'est peut-être "Elle"!. Même si pour les premières je ne peux pas câliner sans éprouver de la tendresse sincère, cela n'a rien à voir avec le branle-bas de combat intérieur qui se passe pour les autres.
La nuance n'est pas forcement très flagrante mais finalement c'est un peu la différence entre aimer raisonnablement ou à la folie. Le stade ultime où on pourrait tout faire pour une personne, où sa simple existence donne un sens à nôtre vie, où sa présence nous propulse dans la vie sans plus aucun détachement. Le grand saut, l'impression d'être sur une autre planète, que tout prend forme, que la couleur et la lumière rayonne partout. Tout devient beau et merveilleux, sans recul ni échappatoire. Enfin si, un seul: la fuite... La négation de cette réalité trop puissante, aveuglante et surtout trop belle pour être vrai! En me rappelant ça je me dis: quel con, mais ça me fait rire... Forcement quand on a jamais plongé dedans ça fait peur, surtout quand on est un mec je dirai. Ne plus avoir de contrôle sur rien, être totalement dans les mains d'une femme dont on ne connait rien finalement, à sa merci, en son pouvoir finalement! Les mecs sont réticents à s'engager, c'est bien connu et pour ce cas là c'est pareil, il faut foncer sans réfléchir. Au pire on se trompe, et alors? On aura vécu ce que l'on avait à vivre même si l'on doit tout sacrifier. Pour moi ce sont les plus belles et grandes choses qui sont les plus difficiles et demandent le plus d'effort; au contraire des plaisirs et satisfaction faciles et rapides.

La vache je suis mort de fatigue, je vais m'effondrer dans mon lit direct! Bon j'espère que les gens saints d'esprits ne s'attarderont pas sur cet article, c'est vraiment du n'importe quoi. Il faudrait que j'écrive tout ça pour moi même mais je n'arrive pas à tenir le moindre journal perso car je suis un gros flemmard qui ne voit pas l'intérêt de faire quelque chose pour soit même... Je ferai mieux de raconter tout ça à un psy plutôt que polluer l'internet avec les déchets de mon existence. J'ai toujours l'envie de m'auto-sencurer pour ne pas infliger ma souffrance aux gens qui pourraient me lire même si je ne les connais pas et j'ai peur du jugement à la vision de ma vie moisie. Bon je crois que je n'ai plus qu'un neurone actif, je vais pouvoir me coucher sans être trop malheureux et me prendre la tête sur ce que je devrais faire si ma vie était équilibré.

Samedi 3 mai 2008 à 15:51

Il fait beau et chaud, ça sent l'été qui arrive! J'ai eut trop de mal à me lever moi, avec un gros mal de tête suite à ma soirée bien arrosée... Le dernier verre cul sec était de trop je crois! En même temps dés qu'il y a un défis "du plus con", je ne peux pas résister tant que ça reste "raisonnable". J'aime bien afficher les paradoxes de ma vie, avec mes idées très constructives et une attitude à l'opposée. Un peu pour dire que malgré tout je suis libre de faire ce que je veux, je suis libre et que j'emmerde le monde moralisateur.

J'ai dû modifier mon dernier article pour corriger les fautes tellement c'était incompréhensible. Boire ou écrire il faut choisir!

Samedi 3 mai 2008 à 3:01

Très bonne soirée mais je rentre dégouté... Avec l'impression d'être une merde malgré une bonne prestation. Pourquoi toujours les mêmes blagues juste parce que je viens avec mon pote joel ça charrie sur nôtre hypothétique homosexualité. Ça devient lourd, ça ma saoulé. Mais surtout ça m'a blessé de ne pas comprendre une phrase entendue alors que je revenais du barbecue, du style: "rassure nous il n'est pas instable psychologiquement?!". Sur le ton de la déconnade bien sûr comme tout au long de la soirée, mais personne n'a rien répondu quand j'ai voulu faire style que je rigolais de la conversation. Je vais demander à Alex de quoi ils parlaient, peut-être était ce juste une blague parmi d'autre parce que genre j'avais vu et pris la batte de baseball d'Alex pour déconner en allant voir jojo et les autres faisant cuir la viande dehors... Dés fois il m'arrive de me faire des films mais quand même, ça suffit à me faire douter. J'essaie d'être le plus fun possible mais il suffit d'un détail pour que j'ai un doute sur le jugement que me porte les autres.
En même temps, ce que Brice et autres peuvent penser, qu'est ce que je m'en tape sérieusement? Pourquoi l'opinion d'inconnus me toucherait? Ceux qui me connaissent savent très bien qui je suis, pourquoi m'attrister d'une pauvre fille et d'un con que je ne connais pas? Peu être que plus la soirée est bien plus je suis triste, il doit y avoir un truc comme ça... J'aurai voulu peut-être plaire et être aimer de tous dés la première soirée, et puis quoi? Ceux qui sont dans la poche je m'en fiche finalement, alors à quoi bon.
Tant qu'à faire je jalouse les mecs parcequ'ils ont une copine charmante mais si elle avait été célibataire je n'aurai surement pas dénié faire quoi que ce soit avec. Quand S. disait que toutes mes copines voulaient coucher avec moi, sa jalousie m'énervait. Mais s'il y avait une part de vérité je serai bien salaud de continuer à les fréquenter alors qu'elles ont toujours attendu plus. Par moment j'avoue trouver leur attitude ambiguë mais je me dit qu'elles jouent et qu'elles savent qu'il ne se passera jamais rien quoi qu'il arrive.
Mais peu importe, ça serait surtout des relations bien artificielles et très malsains pour leurs mecs.
Enfin, la fameuse célibataire A. dont Alex m'avait parlé est tout de même séduisante et malgré qu'elle fasse très mec dans son comportement, je ne dirai pas non... Elle semble néanmoins avoir une idée bien précise du type de mec qu'elle recherche alors vu que je suis hors critères il n'y aura pas de suites. En plus elle habite relativement loin, c'est toujours pénible pour débuter une relation. Je demanderai des echos à Alex mais bon si je fait comme la copine de ma soeur que j'ai laissé espérer a chopé mon msn mais à qui je n'ai donné aucune suite, c'est n'importe quoi! Je calcul tout les paramètres et conclue: ça va pas être possible entre nous même si elle me plait c'est mort! Après je me morfond seul dans mon lit dans ma cruel solitude. Peu être que si j'étais un gros con je pourrai avoir des aventures qui pourrait se terminer rapidement sans regret de la fille, pour que je puisse passer à autre chose si ça ne me va pas!?
Bon j'ai trop bu ça devient n'imp comme discours. Je me sens seul mais je dois me coucher. Bye à toi cher blog fidèle! Dort bien! Ça devient grave je parle à mon blog maintenant, il va falloir m'enfermer...

Vendredi 2 mai 2008 à 20:14

Bon j'attends mon affreux jojo en m'offrant un nouvel article! Le printemps a l'air d'inspirer mon besoin d'écrire alors j'en profite!
Hier l'anniv était très sympa, leur petit bout de chou nous a fait craquer...
L'anniversaire d'Alex de soir risque d'être moins intéressant mais j'ai mon parachute de secours que j'ai embarqué dans l'aventure en lui faisant miroiter d'hypothétiques demoiselles célibataires et canons! C'est mal mais bon ça lui fera pas de mal de voir d'autres personnes de toute façon. En même temps il y en aura peut-être un qu'Alex souhaitait me présenté, comme il dit: on sait jamais. Enfin ça serait bien la première fois qu'une opportunité si facile se présente. Rien que le faite de savoir qu'il y aurait une possibilité ne me donne pas envie de toute façon. J'ai toujours rencontré mes copines dans des situations impossibles et ingèrables.
Bon, je croise les doigts pour que ce ne soit pas une soirée pourrie! L'autre fois j'ai dû regardé du catch pendant plusieurs heures! Heureusement il y avait de l'alcool qui aide bien à se mettre au niveau dans ces cas là...

Au pire on s'arrachera discrètement avec mon Jojo pour rejoindre R et ses copines qui nous a proposé de venir faire la fête ce soir! La haine quand même, au pire je me dirai que j'ai fait ma Bonne Action du week-end...

Allez je sors, mon binôme de soirée doit bientôt prendre me chercher

Vendredi 2 mai 2008 à 15:58

Keep cool, rien ne sert de s'énerver lorsque ça ne change rien... A la réflexion, je me dit que si mon calme naturel est mis à rude épreuve je fini par perdre mes moyens et paniquer. Intérieurement, car en effet j'essaie toujours de garder le contrôle et mon sang froid. En réalité c'est la débandade intérieure! Çà paraît évident, j'ai souvent peur des autres de façon irrationnelle et personne ne comprend. La conclusion de mes récentes réflexion m'a amené à m'interroger sur la source de mes problèmes notement avec les femmes alors que "tout va bien" techniquement parlant.
Par exemple, je n'arrive jamais à avoir ce que j'attends de mes proches, à savoir un soutien inconditionnel, d'être rassuré, réconforté et encouragé.
Mais comme on m'a dit plusieurs fois: "on ne peut pas deviner ce que tu attends, on est pas médium!". Surement que mon attitude en apparence forte, laisse penser aux gens que je prend mes décisions en pleine possession de mes moyens et que rien ne m'empêche d'agir comme je voudrai. En réalité je suis tétanisé à l'intérieur, terrorisé par la vie et les autres qui sont devenus un peu pour moi des ennemis latents, y compris les femmes bien entendu.
Entre mon adolescence où j'ai souffert du rejet des autres et d'absence totale de lien féminin (même pas amitié), les rapports complexes avec ma sœur qui veut me voir toujours comme un héro invincible et pour qui je joue le jeu, et finalement la perte de ma mère qui nous a abandonné sans rien dire; j'ai du mal à aimer vraiment...
Hum, car en effet j'en viens là. Comme disais Matt: "il faut savoir si tu préfères aimer ou être aimer". A rester dans le déni de moi même, je préfère aller vers des femmes qui sont déjà folle de moi et que je peux facilement rendre heureuse, plutôt que me risquer à faire souffrir mon petit cœur fragilisé pour une femme semblant posséder la clef du paradis sur terre.
Un lecteur égaré (ou certaines filles désœuvrés qui restent toute la journée en pyjama à lire des blogs de pauvres types! )  pourrait croire que je m'autoflagelle en racontant tout ça sur moi, mais pourtant à un moment il faut regarder la réalité en fasse et arrêter de se donner des petites excuses.
Il n'y a que moi pour savoir quand j'ai un comportement aberrant, qui ne me ressemble pas. Les gens trouvent ça normal, ou peuvent se choquer mais trouvent une raison basique qui les rassurent. Au final personne ne comprend rien...

Vendredi 2 mai 2008 à 14:44

Peu importe sa nationalité, peu importe où elle va, pourvu qu'elle soit belle.
L'attendre longtemps et laisser passer les autres vagues n'est pas un problème, tant qu'elle vienne et veuille bien emporter ceux qui la suive.
Au loin, difficile de la différencier d'une autre, seul l'expérience et l'intuition permettent de la deviner et de s'y préparer.
Sa puissance naturelle, sa ligne pure, tuerait quiconque la prendrait de face, car rien ne peut l'arrêter.
Une fois son objectif atteint, c'est calmement et délicatement quelle repartira vers d'autres horizons, laissant derrière elle un souvenir immaculé, d'écume salée.


Photo de http://www.julien-bacal.com

Jeudi 1er mai 2008 à 2:28

Au programme anniversaire d'un ami, chez qui nous lançons une expédition avec mon pote Joel à l'aube, 10h30 quoi... Plein de monde ne va pas venir car obligations obligent, mais pour certains c'est un peu louche. Enfin il est loin d'être un ami parfait, mais il est quand même fidèle et sincère malgré qu'il s'intéresse plus à sa personne qu'aux autres. Des fois c'est à se demander si nous ne sommes pas là que pour qu'il ne se sente pas seul dans ses délires ou les trips qu'il a tendance à imposer.
 Pour sa copine c'est un peu pareil, parfois c'est à se demander jusqu'où l'amour peut rendre aveugle... Elle fait tout pour lui, et lui le minimum: normal. C'est triste à dire mais il reproduit exactement le schéma de relation qu'il avait avec sa mère. Comme quoi les maman trop gentilles ça peut donner des compagnons exigeants et macho.

Ça me fait penser qu'ils n'auront jamais vu S. après tout ce que j'ai passé avec elle, mais c'est mieux comme ça. Ça fait bizarre, comme ci ça n'avait pas compté. D'ailleurs aucune nouvelles de sa part, et je ne compte pas lui donner signe de vie non plus. Le temps que ça se tasse on y verra peut être plus clair et il sera plus facile de se dire que c'est définitivement terminé entre nous. Je me sens toujours responsable quand une histoire ne s'est pas épanouie comme on l'aurait espéré. Elle, cherchait à me posséder, m'avoir pour toujours, alors que moi j'essayai d'avoir une relation saine à la base. J'aurai voulu que malgré nos problèmes respectifs et nôtre passé pas toujours rose, nous nous donnions la main pour affronter la vie ensemble et devenir meilleur chaque jour. Mais pourquoi rêver quand dés le départ on sait que c'est du "n'importe quoi"? Elle avait besoin d'amour, je lui en ai donné, mais à force d'être blessé et incompris la source fini par s'assécher. Elle pensait avoir trouver son bonheur, comme on tombe sur un trésor que l'on va enfermer, mettre sous verre pour qu'il ne lui échappe pas. Dés que j'essayai de remettre les pendules à l'heure, l'invitation à rompre était direct. "Je suis comme ça, si ça te va pas tu sais quoi faire!". Aucun compromis, aucun effort, sauf pour me voir et faire ce qu'elle voulait quand elle voulait. Pour le quand c'était plutôt tout le temps d'ailleurs. Alors quand on ne partage pas les mêmes besoin et intérêt coté activité c'est vite insupportable.
Sur ce coup là, Lucy avait un peu raison quand elle disait que le plus important dans un couple était de partager des choses en commun. Néanmoins je pense toujours qu'aimer toutes les mêmes choses, concrètement parlant, est accessoire. Pour moi ce qui compte vraiment ce sont les valeurs communes, à partir desquelles ont peut amener l'autre à apprécier de nouvelles choses, à découvrir et apprendre.
D'ailleurs je pense qu'il faut être complémentaire dans un couple, pour se compléter et pas simplement vivre avec son clone. C'est certes plus difficile à mettre la relation en place mais certainement plus profitable et durable pour les deux.
Enfin le problème reste entier, jusqu'à maintenant j'ai fait foiré toutes les histoires d'amours naissantes qui menaçait de me rendre l'homme le plus heureux du monde. Forcement toute mon existence aurait d'un coup basculé! Ayant ce que je désire le plus au monde, plus aucune excuse que je me donne pour avancer dans la vie à reculons ne seraient valable.
  Mes croyances tomberait à plat si celle qui est divine à mes yeux pouvait m'aimer tel que je suis: la misérable larve que je suis à mes yeux. Car bien que tout le monde s'accorde à dire que je me suis beaucoup épanoui ces dernières années, il y a malheureusement beaucoup d'apparence et de détachement de moi là dessous. Mais au fond je reste le même animal rejeté et haït de tous. Une aberration de la nature ne devant jamais avoir vu le jour. Un être maudit, condamné à errer dans ce monde avec comme seul joie de pouvoir participer au bonheur des autres...

Cette image de moi complètement déformé, a été aggravé, voir été créé par le regard et l'attitude que mes parents ont eut sur moi dés mon plus jeune age. Même en en ayant conscience, quand on a pris l'habitude de vivre dans la haine de soit, cela reste profondément ancré. La délivrance devient trop difficile à accepter et les croyances reprennent le dessus en substituant la réelle perception des choses à un tissu de mensonges correspondant à l'image que l'on s'est fait de soit et du monde.
Le cauchemarde se calque sur le rêve. La princesse devient une vulgaire catin cherchant à s'amuser un peu avec le premier mec de passage. L'ange tombé du ciel est en faite une tentatrice remontées des enfers, venu vérifier si on ose éprouver du désir pour une créature pure, moi, vil pervers des abimes. C'est plutôt horrible en faite! Je me rend compte à quel point mon inconscient a pu luter de toute ses forces dans ces moments pour "survivre".
Le pire pour moi est de ne pas savoir à quel point j'ai pu décevoir, blesser, peut être même traumatisé ces pauvres filles qui n'ont dû rien comprendre à mon attitude surprenante.
Me rassurer en me disant qu'il ne s'est "rien passé" de sérieux physiquement, ça n'avait eut aucune importance. Je pense que les sentiments et l'impression qu'on ai joué avec les siens est quelque chose de tout aussi grave que de coucher avec et de jeter l'autre, chose que je ne conçois pourtant pas...
Enfin je pense que c'est tout de même moi la première victime de ma connerie, car elles au moins peuvent croire que finalement elles ne m'intéressaient pas et que donc ça n'aurait mené à rien si cela avait été plus loin.

Les pauvres lecteurs qui ont le courage de lire tout ça, doivent me prendre pour un dingue et je suis bien d'accord...  Il faudrait que je regarde un jour la vérité en fasse: finalement je n'ai plus aucun problème pour vivre heureux, j'ai juste gardé mes mécanismes de survie d'une époque désormais révolue.

Bon je scotche sur l'écran, en essayant de trouver des mots qui ne viennent plus, alors je vais me coucher de suite.
 

Mercredi 30 avril 2008 à 14:45

Mince alors, je vais les faire toutes ces affaires... Comment après mes articles précédent ne pas parler de l'affaire Fourniret!
Je cite l'article de dhnet:
"Avant de faire monter, le 5 mai 2001, la petite Thaïlandaise dans son fourgon C25, il l'avait mise en confiance, quelques jours plus tôt, en la ramenant devant chez elle. La simple phrase : "Je ne suis pas un méchant homme" avait, hélas, suffi à la tranquilliser !"

J'ai envie de dire à toutes les femmes de ne pas toujours vous fier aux paroles et aux actes des hommes pour vous amadouer. Il faut rester méfiant et connaitre vos ennemis pour savoir les identifier lorsqu'ils tentent de vous mettre en confiance.
Mais bon, est-ce normal de devoir transformer les fillettes en guérilléros prêt à en découdre avec les pires spécimens de prédateurs de la planète? J'aimerai pouvoir éduquer ma fille avec un minimum de confiance envers les hommes. Quand je vois la façon dont ma sœur a longtemps traité ses prétendants, c'est à dire comme des agresseurs, je trouve ça dommage. A voir le mal partout on ne peut pas s'épanouir, surtout à l'adolescence où c'est difficile de faire la part des choses. Personnellement, j'ai eut du mal à être fier d'être un homme quand je voyais comment se comportait mes "semblables" vis à vis des femmes. Maintenant plutôt que d'avoir honte ou simplement compatir, j'essaie d'aider, de soutenir ou rattraper un peu le mal qu'on leur a fait. En couple j'essai surtout de simplement les aimer comme elles sont malgré les séquelles que cela a pu engendrer, comme S. pour qui je l'espère j'aurai laissé une trace positive dans sa vie malgré que je n'ai pas pu lui donner tout ce qu'elle attendait de moi.

Enfin je souhaite terminer avec le sujet initial, avec les paroles du père d'un des victimes qui avait intention d'insulter l'ignoble individu:
Je me suis donc arrêté sur un seul mot : larve. Et ce n'est même pas vrai, vous n'êtes pas une larve, une larve, ça sert à quelque chose, les excréments de vache aussi, servent à quelque chose. Vous êtes moins que cela.
Oui, c'est trop mignon un larve même si c'est moche en comparaison à ce qu'est cet homme. Il n'y a pas de mot assez fort pour le nommer. Il ne mérite même pas de porter le nom de sa famille ou son prénom, car c'est une insulte pour tout ceux le portant.
"Le monstre aux yeux bleus" peut-être?

Source:

<< Page précédente | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 | 39 | 40 | 41 | 42 | Page suivante >>

Créer un podcast