Marcow

Tout et n'importe quoi

Mercredi 30 avril 2008 à 14:03

En regardant l'article précédent je suis tombé sur celui-ci qui me fait bien sourire par contre! C'est mal, mais je trouve ça trop bon. Je ne connais ni la situation ni ce que j'aurai fait à sa place, mais même si on est gentil de nature, il arrive un stade où le bourreau peut devenir la victime.

Article: Une Japonnaise tue et découpe son mari qui la battait

Mercredi 30 avril 2008 à 13:53

ATTENTION! Cet article pourrait heurté la sensibilité des plus jeunes.
Stop! Mince alors, comment est-ce possible en 2008? C'est ça la liberté qu'on a gagné dans nôtre belle civilisation? N'importe qui peut faire tout et n'importe quoi chez lui avec sa famille sans que personne ne soit informé? Non, je n'accepterai jamais que ma liberté permette à des monstres de s'épanouir en toute tranquillité!
On ne peut pas mettre des caméras chez tout le monde, mais je ne peux pas croire qu'il n'y ai pas de solutions. Quand je vois la photo de ce mec j'ai des envies de lui infliger des choses que nôtre belle justice réprouverai en m'envoyant en prison pour un bon moment... Par exemple un programme de rééducation longue durée, en prison américaines avec beaucoup de beaux black bien membrés!
"- Oh non ça fait déjà cinq fois aujourd'hui!
- Allez laisse toi faire coquine, tu ne voudrai pas être amputé d'un phalange de plus quand même?"

Un article sur le sujet

Mercredi 30 avril 2008 à 13:34

La puissance céleste s'abat en ce moment même pas loin de chez moi!J'aime les éléments déchainés qui révèlent la grandeur des forces naturelles et nous ramène à nôtre humble état de créatures mortelles luttant pour leur survie...

Dimanche 27 avril 2008 à 19:12

Mon ami Manu m'a prêté un livre que lui a donné le philosophe Michel Onfray suite à une discutions sur la spiritualité. Il se dit ne croire en rien et verra bien le moment venu... Je lui ai alors raconté l'histoire d'un ancien collègue de mon père qui a toujours vécu sans aucune spiritualité. Maintenant qu'il est proche de la mort, en phase terminale d'un cancer il proclame qu'il n'a pas peur de la mort. Mon père lui ayant fait une blague sur le paradis, il lui a déclaré qu'il ne croyait pas en ses foutaises et que d'ailleurs il insultait dieu presque tout les jours en lui disant qu'il n'existait pas. Mon père lui a justement fait remarqué qu'en s'adressant à lui il se trahissait...

Facile de ne croire en rien quand tout va bien, on évite de penser à la fin on ne veut pas savoir s'il y a un après... Pas la peine de se torturer toute sa vie à trouver la vérité, mais un minimum de réflexion sur le sujet est nécessaire à mon avis.

Il y a quelques jours j'ai rêvé que j'avais 50 ans et que je n'avais rien fait de ma vie. C'était assez horrible, mais ce doit être un message d'alerte de mon inconscient qui estime qu'il est temps de passer la vitesse supérieure...
Je vais devoir le faire, ou bien prostituer mon âme à végéter dans cette vie sans me battre pour être qui je suis vraiment. Moi qui ai toujours méprisé ceux qui vivait selon un programme bien dans la norme: travail, femme, mariage, maison, enfants (divorce?), ne se posant jamais de question, dans un simulacre de vie parfaite...
Ma valeur principale étant l'amour, je ne pourrai jamais faire comme tout le monde si ça n'est pas totalement sincère. Mais pour cela, encore faudrait-il que je me respecte moi même... A partir de là je pourrai avoir vraiment confiance en moi, et pas n'en avoir que l'air. J'aurai alors foi en la vie et pourrait commencer à réellement m'investir dans tout ce que j'entreprendrai. Je pourrai envisager l'échec et mon imperfection pourrait être toléré du faite que j'essaierai de m'améliorer constamment. Quand on fait le maximum, on ne peut pas s'en vouloir autant que lorsqu'on est resté sur sa réserve. Les regrets va mieux que les remords me disaient Manu et j'avoue qu'il n'a pas tord. Mieux vaut essayer et se planter que ne rien risqué de peur d'échouer, car après reste le doute: et si ça avait marché?
Bref, avant de penser à trouver ma moitié je dois penser à moi. Comment pourrai-je être à la hauteur de la prochaine histoire si je n'ai toujours pas confiance en moi et en ce que je peux apporter à l'autre? Mériter d'être heureux, c'est ce dont j'ai besoin avant d'avancer. Jusqu'à présent j'ai toujours fait en sorte que l'histoire se termine sur un malentendu. Cela fait aussi mal à chaque fois quand je me rend compte que finalement, en lui parlant nous aurions pu clarifier la situation et nos sentiments surtout... Je trouve triste les histoires où un seul des deux reste amoureux, mais avorter une histoire naissante sur un non-dit alors que tout partait bien c'est pour moi horrible. Je me donne à fond pour des filles qui ne me correspondent pas, mais fuit celles qui pourraient me rendent heureux. A croire que le me complait dans le malheur, à toujours reproduire une situation d'échec à tout niveau. Un psy pourrait m'aider à sortir de se bourbier mais j'ai peur. Oui je fait le fier lorsqu'il faut défier la mort, prendre des risques physiques ou supporter la douleur, mais face à la vie je me comporte comme un lâche. Je continue à faire mon ado rebelle qui a décidé que sa vie est pourrie et qu'il n'y a plus rien à sauver, même pas les meubles. Certes, je me suis fait le serment de ne plus jamais vouloir attenter à mes jours physiquement, mais ce que je fait de ma vie s'apparente fortement à un suicide social. Je cherche l'attention de mon entourage, pour recevoir de l'amour mais je ne m'aime pas moi même. Certes je leur rend leur affection, mais est-ce vraiment les aimer que leur donner en spectacle ma déchéance?
Je suis donc quelqu'un de peu fréquentable en ce moment, vivement que ça change... :)

Dimanche 20 avril 2008 à 22:52

Bon, il faudra bien que je me décide. Si je rompt avec S. celà sera difficile en continuant ma vie comme je le fait. Deux décision doivent être prise en même temps...

Samedi 15 mars 2008 à 13:46

Cette nuit j'ai rêvé de serpent. Dans nôtre ancienne maison, il y en avait de toutes les tailles et forme et cherchaient à mordre. C'est mon père qui en élevait je crois. Dans le rêve, j'avais obtenu la moitié de la maison il me semble. Les rapports avec mon père y étaient plutôt négatifs et malsain, mais je ne me rappel plus exactement. Ça me reviendra peut-être.

Dimanche 24 février 2008 à 20:21

En ce moment je suis en grande consommation de livre concernant des personnes en situation de faiblesse, se faisant martyrisé à tel point que leur vie a été infernale. S. possède en effet un grand rayon de livres à ce sujet. "J'ai 10 ans et ma vie est un enfer", "Lapidée", "Kidnappé", "Humilié", "Le moins que rien/l'ado perdu", etc.
Dans la lignée de Christiane F. j'ai également lu l'herbe bleu, qui est un assemblage d'un journal intime d'une jeune fille qui tombe dans l'univers de la drogue et essai de s'en sortir.

Ces livres, en général donnent un message d'espoir car certains cas sont particulièrement difficile à accepter. Dans "le moins que rien", où à un moment on peut douter de la crédibilité des atrocités commise par la mère de ce petit garçon, j'ai même rigolé tellement les réflexions qu'il se faisait, étaient pitoyables, mais hallucinantes, en plein cœur de la misère mentale. Si j'avais le livre sous la main, j'aurai même fait une citation.
Celui-ci et d'autres s'en sont effectivement sorti, qui plus est encore plus fort. Leur détermination est sans faille, tant les épreuves leur ont appris à tenir bon aux aléas de la vie.

Enfin, dans tout ça je me dit que parfois les parents auxquels ont fait confiance aveuglement sont capable du pire, malgré leurs bonnes intentions initiales.

Dimanche 13 janvier 2008 à 17:58

Je viens de finir un livre que j'ai emprunté à S. "Moi, Christiane F.,13 ans, droguée, prostituée..." qui m'a touché. Il raconte l'enfance puis la descente aux enfers d'une Berlinoise dans les années 70, à l'époque du mur de Berlin. Bien écrit, sans tabou ni cliché, ce libre est vraiment excellent. Il m'a fait réfléchir sur moi même, mes problèmes, et le sens de la vie. En effet, je ne consomme pas de drogue mais j'ai tendance à la dépendance que l'on peut considérer comme une névrose.

Sinon, mon pêre qui a déménagé depuis plusieurs mois, se sent beaucoup mieux chez lui. Ma soeur s'est fait plaqué par son copain avec qui elle vivait depuis un an. Malgré ça nous avons passé de joyeuses fêtes de noël. Le premier de l'an n'était pas vraiment à mon goùt, mais j'étais avec des personnes que j'aime bien, c'est le principal. Je ne sors plus beaucoup, je suis dans une période asociale.

Sur ce je repars continuer à gâcher ma vie :)

Lundi 17 décembre 2007 à 20:02

A la reflexion, je ne vais pas abiter tout de suite avec S. Je ne le sens pas, alors on en reparlera mais plus tard!

Lundi 19 novembre 2007 à 3:16

Allez un petit article pour qu'il ne s'autodétruise pas

Voilà, que dire... J'emménage bientôt avec ma chérie, il n'y a plus que ça à faire. Il y a surement des femmes qui me conrespondent mieux, mais la question ne se pose pas. Je me suis trop laissé allez et perdu le fil de ma vie. Malgré les bons moments, j'ai toujours l'impression que jamais je ne redresserai la pente que j'ai prise depuis des années. Je n'y crois tellement plus que j'ai arrêté les cours, en espérant reprendre plus tard lorsque j'aurai repris goùt aux choses de la vie.

Ca m'ennuit de dire celà, mais parfois je me demande ce que je fait avec elle, qu'elle est moche, que je n'ai pas souvent envie d'elle et par moment qu'elle me dégoute... J'ai honte de moi quand je pense ça, mais heureusement elle ne voit rien. Elle est amoureuse, elle croit que je suis de mauvaise humeure. Peut-être est-ce normal, que tout les couples passent par là par des moments... Je ne crois pas, mais j'ai égoistement trop besoin de son amour pour survivre par la suite. Ma vie à un sens puisqu'elle est devenue le centre de la sienne. Mais heureusement, je ne me dévoue pas et ne me force que rarement. Elle prend ce que j'ai envie de lui donner, même si elle en voudrait toujours plus.

C'est pitoyable, mais c'est dans ma nature d'avoir besoin de faire les choses pour faire plaisir à quelqu'un, ou du moins dans la continuité d'une démarche. Pour elle, je serai peut-être prét à tout, car elle ne cherche pas à m'imposer des choses, comme me donner envie d'être heureux par exemple. Non, c'est plutôt comme une forte énergie vers laquelle je suis attiré et même si ca me parait désagréable, je me met à l'action et je ne regrette pas. Celà me fait penser au proverbe "Ce que femme veut, dieu le veut". Eh bien oui, j'ai envie de me laisser emporter par ce courant féminin...
Cet amour qu'on a su préserver est comme une protection pour moi, j'ai l'impression de pouvoir tout affronter tant qu'elle me soutiendra.

J'ai la sensation de voir à l'oeuvre ce que je présentais sur cet energie, formé par notre relation. Par le passé je recherchais une femme "parfaite" avec qui j'aurai voulu partager ma vie entière. Alors qu'on a commencé avec Shirley sur du total n'importe quoi temporaire. C'est grave de dire ça, mais c'est quand même la fille avec le pire physique que j'ai connu par rapport à mes ex petites-amies, et pourtant...! J'aime trop ce qu'elle dégage, sa petite bouille trop mignone, ses mimiques, ses délires et expressions débiles.

Si j'ai été amoureux auparavent, jamais je n'ai réussi à démarrer la relation pour aboutir à celle-ci. C'est pourquoi, si je devais mourrir demain, je pourai dire que c'est la seule femme que j'aurai aimé vraiment avec ses bons et ses mauvais cotés, dans toutes les situations...

J'attendais beaucoup plus d'une relation, mais c'est l'essenciel qui compte: l'amour. Se retrouver avec l'autre, se sentir bien et ne faire plus qu'un. C'est précieux, mais c'est pourtant si simple d'aimer l'autre, malgré tout. Il suffit de se l'authoriser en restant soit même. C'est magique je trouve, je n'aurai jamais cru avant de le vivre. Enfin voilà, j'arrête ici sur ces bonnes paroles.
(Comme d'abitude j'espère n'avoir heurté la sensibilité d'aucun lecteur potenciel )

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