Est-ce un moyen d'accorder l'esprit avec l'âme? Le rituel reliant le corps à cette communion de soit-même avec les choses supérieures et invisibles?
Esprit du Renard, amene moi sur la voie...
Pensée zen: "Comme la poésie, le zen utilise des mots pour dire ce qu'on ne peut dire."
Marcow
Tout et n'importe quoi
Jeudi 22 mars 2007 à 19:31
Jeudi 22 mars 2007 à 3:49
Wesh, ct pr dir kla société ke jte nik grave! ke moi et mes couz1 de la téci on va tfere la po! Nous aussi on veut se gaver de tune en rien foutant avec des bonnes meufs!
Spécial kassdédi à tout les jeunes wesh qui n'aime pas la fransse et kif bruler les voitures d boufons! Descend dans la rue et crache sur les fdp de bourgeois rassistes ki nous comppriment et voudrait nous faire travailler comme esclaves!
(Merde malgré l'echarpe j'ai attrapé froid... La prochaine fois jmettrai ma cagoule...)
Spécial kassdédi à tout les jeunes wesh qui n'aime pas la fransse et kif bruler les voitures d boufons! Descend dans la rue et crache sur les fdp de bourgeois rassistes ki nous comppriment et voudrait nous faire travailler comme esclaves!
(Merde malgré l'echarpe j'ai attrapé froid... La prochaine fois jmettrai ma cagoule...)
Jeudi 22 mars 2007 à 3:32
Où est la séparation entre se venger et faire justice?
La vengeance c'est rendre le mal qui est fait au responsable. La justice à mon sens c'est punir selon des rêgles établis par un ensemble de personne compétence.
Dans les tribus, c'est un conseil qui analyse et applique une sentance selon les codes.
La justice est une sorte de vengeance institutionnalisé pour limiter les actes trop nuisibles à la société. Si on considère que la vengeance est un acte haineux, type Yin, les personnes étant trop Yang ont tendance à ne pas faire justice. Ils peuvent souffrir, ressentir de la compassion pour la personne aggressée et une étincelle de Yin s'allumera en réaction.
Exemple:
a) b)
Pour la figure a, une attaque de la flêche Yin contre une entité type Yang. Le coup blesse.
Pour la b, une entité type Yang reçoit l'aggression et simule une quantité Yang de compassion égale à la blessure perçu. Le point Yin montre un début de réaction.
Si l'entité de la figure 'b' est amicale avec l'entité aggressé a, le yin génèré sera dirigé contre l'aggresseur (pouvant enclenché une attitude de sauveur). Si elle est hostile à 'a' il yin sera contre dirigé contre elle (Donnera envie de participer).
Si 'a' est neutre pour 'b', il peut y avoir peur: 'b' si dit que ça pourait être lui la victime;
pitié: 'a' l'a mérité et est méprisable (on associe la situation à l'entité: 'a' est une victime)
ou indifférence: "Je n'ai rien à voir à ça, je m'en moque".
Dans les jeux verbaux ou corporels, on simule des aggressions et invite l'autre à répondre. Celà peut entrainer à exprimer son aggressivité latente, à réutiliser un scénario contre des intentions réellement mauvaises.
Pour les sentiments les jeux ne sont pas contrôlables, je pense qu'il ne faut surtout pas s'amuser avec.
Bon, je m'égard un peu sur des détails théoriques. Là où je voulais en venir, c'est qu'ayant un excés de Yang il me faut travailler mon Yin au quotidien. A moi d'imposer mes rêgles, ne rien laisser passer d'injuste ou de faux. Arréter d'être spéctateur/victime pour faire plaisir aux autres. Je ne suis pas un paillasson, marre de caresser les gens dans le sens du poil pour ne pas créer de conflit.
Ah le conflit, c'est ce qu'il me faut! Y en a marre de fuir, d'esquiver car je ne veux ni gagner , ni perdre. Autant essayer de gagner! Je dois penser à ma gueule d'abbord. Je me rend compte que j'ai adopté une attitude de faux-cul avec un style de looser!!! Une vrai fiote, comme dirait papa !
P*t1 je kif mon blog, je m'auto-insulte! Enfin je me modère, il y a des âmes sensibles qui peuvent lire! Bref, ca me trou le cul de dire ça, mais le vieux jp avait raison sur ce coup.
Mais il s'y ai mal pris, dommage. Pour devenir un "homme" comme lui, il m'aurait fallu plus d'encouragement, de soutien... J'ai bien violenté quelques camarades qui me cherchait en voulu faire mon dur, mais c'était du sur-joué. Je t'ai montré que j'avais moins peur que toi de mourrir, mais c'était plus du renoncement que de la haine...
Je n'ai jamais réellement appris à me défendre et à avoir confiance en moi. Pourquoi quoi de plus simple? On me fou une claque:
- A) Je tend l'autre joue d'un air malheureux
- B) Je rend un coup de boule! Facile!
On critique une copine?
A) Je fait l'étonné mais je n'en pense pas moins
B) Coup de pied sauté dans sa face de conne!
On me reproche de mal agir en me prenant pour une merde?
A) Oui mais en faite c'est parceque... Tu comprends à cause de ...
B) Eclatage de tibias façon Jean-Claude
Conclusion: Parfois il est justice que de se venger. Laisser faire est parfois injuste...
Il faut toujours avoir le bien en objectif...
Ps: utiliser l'option B avec modération!
La vengeance c'est rendre le mal qui est fait au responsable. La justice à mon sens c'est punir selon des rêgles établis par un ensemble de personne compétence.
Dans les tribus, c'est un conseil qui analyse et applique une sentance selon les codes.
La justice est une sorte de vengeance institutionnalisé pour limiter les actes trop nuisibles à la société. Si on considère que la vengeance est un acte haineux, type Yin, les personnes étant trop Yang ont tendance à ne pas faire justice. Ils peuvent souffrir, ressentir de la compassion pour la personne aggressée et une étincelle de Yin s'allumera en réaction.
Exemple:
a) b)
Pour la figure a, une attaque de la flêche Yin contre une entité type Yang. Le coup blesse.
Pour la b, une entité type Yang reçoit l'aggression et simule une quantité Yang de compassion égale à la blessure perçu. Le point Yin montre un début de réaction.
Si l'entité de la figure 'b' est amicale avec l'entité aggressé a, le yin génèré sera dirigé contre l'aggresseur (pouvant enclenché une attitude de sauveur). Si elle est hostile à 'a' il yin sera contre dirigé contre elle (Donnera envie de participer).
Si 'a' est neutre pour 'b', il peut y avoir peur: 'b' si dit que ça pourait être lui la victime;
pitié: 'a' l'a mérité et est méprisable (on associe la situation à l'entité: 'a' est une victime)
ou indifférence: "Je n'ai rien à voir à ça, je m'en moque".
Dans les jeux verbaux ou corporels, on simule des aggressions et invite l'autre à répondre. Celà peut entrainer à exprimer son aggressivité latente, à réutiliser un scénario contre des intentions réellement mauvaises.
Pour les sentiments les jeux ne sont pas contrôlables, je pense qu'il ne faut surtout pas s'amuser avec.
Bon, je m'égard un peu sur des détails théoriques. Là où je voulais en venir, c'est qu'ayant un excés de Yang il me faut travailler mon Yin au quotidien. A moi d'imposer mes rêgles, ne rien laisser passer d'injuste ou de faux. Arréter d'être spéctateur/victime pour faire plaisir aux autres. Je ne suis pas un paillasson, marre de caresser les gens dans le sens du poil pour ne pas créer de conflit.
Ah le conflit, c'est ce qu'il me faut! Y en a marre de fuir, d'esquiver car je ne veux ni gagner , ni perdre. Autant essayer de gagner! Je dois penser à ma gueule d'abbord. Je me rend compte que j'ai adopté une attitude de faux-cul avec un style de looser!!! Une vrai fiote, comme dirait papa !
P*t1 je kif mon blog, je m'auto-insulte! Enfin je me modère, il y a des âmes sensibles qui peuvent lire! Bref, ca me trou le cul de dire ça, mais le vieux jp avait raison sur ce coup.
Mais il s'y ai mal pris, dommage. Pour devenir un "homme" comme lui, il m'aurait fallu plus d'encouragement, de soutien... J'ai bien violenté quelques camarades qui me cherchait en voulu faire mon dur, mais c'était du sur-joué. Je t'ai montré que j'avais moins peur que toi de mourrir, mais c'était plus du renoncement que de la haine...
Je n'ai jamais réellement appris à me défendre et à avoir confiance en moi. Pourquoi quoi de plus simple? On me fou une claque:
- A) Je tend l'autre joue d'un air malheureux
- B) Je rend un coup de boule! Facile!
On critique une copine?
A) Je fait l'étonné mais je n'en pense pas moins
B) Coup de pied sauté dans sa face de conne!
On me reproche de mal agir en me prenant pour une merde?
A) Oui mais en faite c'est parceque... Tu comprends à cause de ...
B) Eclatage de tibias façon Jean-Claude
Conclusion: Parfois il est justice que de se venger. Laisser faire est parfois injuste...
Il faut toujours avoir le bien en objectif...
Ps: utiliser l'option B avec modération!
Mercredi 21 mars 2007 à 19:11
En réfléchissant sur ce que j'ai écris, il semblerait que les deux forces élémentaires de l'âme soit l'amour et la haine - Yang et Yin - Feu et eau.
Une pour la paix, la douceur, la stabilité, l'union, défense, l'altruisme... etc -> L'eau
L'autre pour l'action, la rage, le changement, prise de risque, attaque, la détermination, l'égoïsme etc -> le feu
Il est clair qu'à la base étant gamin, c'est le coté posé et calme qui me caractérisait. Même la volience je la voyais de façon idéalisé, dans les rêgles de l'art, pour défendre le bien.
Au fil du temps j'ai découvert la haine et ses forces libératrices. J'ai cassé mes chaines et ai affirmé ma personnalité. Ensuite, je me suis entrainé à me détacher des pressions qu'exercent ses forces sur moi en arrivant à un niveau minimum. Car je n'ai pas supporté la douleur de l'amour pure, celui qui brule nôtre coeur à plein régime... Celui qui fait perdre notre controle, se perdant un peu dans l'autre. En vérité je n'ai pas sut aimer entièrement car je n'ai pas sut l'assumer et l'avouer au grand jour. Le feu était allumé mais je n'ai pas voulu le laisser se nourrir de l'air pure dont il avait besoin. J'ai voulu le contenir alors que j'aurai dû le laisser se propager.
Pour aimer entièrement il faut savoir casser toute ses barrières personnelles. Seul les forces Yin permettent de se dépasser vraiment. Tout laisser tomber, tout bruler et repartir.
Bref je manque de Yin, il faut que j'en fasse pousser en moi. Pour faire grandire ma rage de réussite personnelle. Pour me prouver ce dont je suis capable. Tuer les obstacles, détruire les barrières, allez contre le courant! Réveiller la fureure de mon âme et la transmettre au corps. Ne plus rien laisser passer, affirmer et assumer la noirceur de mon âme. Si tout le monde à le diable en lui, allons le réveiller! Je ne suis pas une merde, je ne mérite pas cette vie pourrie, je me fou d'être quelqu'un de bien de supérieur et d'aimer mon prochain. J'ai une vie à accomplir et si je dois bouffer de la merde, saigner ou être haït pour ce que je suis, je le ferai. Rien ne m'arrêtera! J'allume le feu plein gaz! Je vais ruer dans les brancarts! Je suis un fou et je vais tout lacher!
Bon on en est tréééééés trés loin, mais on va commencer petit à petit...
Une pour la paix, la douceur, la stabilité, l'union, défense, l'altruisme... etc -> L'eau
L'autre pour l'action, la rage, le changement, prise de risque, attaque, la détermination, l'égoïsme etc -> le feu
Il est clair qu'à la base étant gamin, c'est le coté posé et calme qui me caractérisait. Même la volience je la voyais de façon idéalisé, dans les rêgles de l'art, pour défendre le bien.
Au fil du temps j'ai découvert la haine et ses forces libératrices. J'ai cassé mes chaines et ai affirmé ma personnalité. Ensuite, je me suis entrainé à me détacher des pressions qu'exercent ses forces sur moi en arrivant à un niveau minimum. Car je n'ai pas supporté la douleur de l'amour pure, celui qui brule nôtre coeur à plein régime... Celui qui fait perdre notre controle, se perdant un peu dans l'autre. En vérité je n'ai pas sut aimer entièrement car je n'ai pas sut l'assumer et l'avouer au grand jour. Le feu était allumé mais je n'ai pas voulu le laisser se nourrir de l'air pure dont il avait besoin. J'ai voulu le contenir alors que j'aurai dû le laisser se propager.
Pour aimer entièrement il faut savoir casser toute ses barrières personnelles. Seul les forces Yin permettent de se dépasser vraiment. Tout laisser tomber, tout bruler et repartir.
Bref je manque de Yin, il faut que j'en fasse pousser en moi. Pour faire grandire ma rage de réussite personnelle. Pour me prouver ce dont je suis capable. Tuer les obstacles, détruire les barrières, allez contre le courant! Réveiller la fureure de mon âme et la transmettre au corps. Ne plus rien laisser passer, affirmer et assumer la noirceur de mon âme. Si tout le monde à le diable en lui, allons le réveiller! Je ne suis pas une merde, je ne mérite pas cette vie pourrie, je me fou d'être quelqu'un de bien de supérieur et d'aimer mon prochain. J'ai une vie à accomplir et si je dois bouffer de la merde, saigner ou être haït pour ce que je suis, je le ferai. Rien ne m'arrêtera! J'allume le feu plein gaz! Je vais ruer dans les brancarts! Je suis un fou et je vais tout lacher!
Bon on en est tréééééés trés loin, mais on va commencer petit à petit...
Mercredi 21 mars 2007 à 18:04
Sacré soeurette, malgré les aléas de la vie rien ne changera ce qu'il y a entre nous.
Super chieuse mais toujours à vouloir aider les autres. Je suis content que tu ais trouvé un homme qui te rende heureuse. Car réussir ses études et sa vie professionnelle c'est une chose, mais l'essentiel n'est pas là...
J'aime bien cette photo, c'est pas souvent qu'on reste sérieux
Super chieuse mais toujours à vouloir aider les autres. Je suis content que tu ais trouvé un homme qui te rende heureuse. Car réussir ses études et sa vie professionnelle c'est une chose, mais l'essentiel n'est pas là...
J'aime bien cette photo, c'est pas souvent qu'on reste sérieux
Mercredi 21 mars 2007 à 16:34
L'heure est grave, où doit-je brancher ce truc pour regonfler la télé qui ne fonctionne plus?!
Mardi 20 mars 2007 à 21:30
Portée par le courant, petite feuille vogue lentement...
Mardi 20 mars 2007 à 21:01
Aujourd'hui j'ai été voir La Cité interdite (un film d'aventure chinois en Couleur de Zhang Yimou de 2006). Attention ça ne rigole pas chez les Chinois, pas un brin d'humour! J'ai trouvé qu'ils s'étaient trop pris au sérieux avec des scènes qui parfois frolent le ridicule, à mons sens.J'ai quand même bien aimé.
Les parents ont été cool, j'ai passé un bon moment. Sur le chemin il tombait des grêlons, c'était beau sur la chaussé. Ca m'a fait penser à la neige...
J'avais mal à la tête aprés par contre. A croire que ça ne me réussi pas de reprendre un rythme normal sans récupérer des douleurs...
C'est vraiment peinible, ça me coupe l'envie de faire quoi que ce soit. D'ailleurs je suis fatigué ce soir, je n'ai pas envie de sortir. J'ai même la flemme de me faire à manger...
Trop dur de se remettre au travail quand on se laisse vivre depuis un moment... Il faudrait que j'aille m'inscrire aux cours, histoire de pouvoir tenter les exams. Histoire d'avoir essayé d'avancer cette année.
Sinon j'ai résilié mon compte wow aujourd'hui. J'ai regardé, j'ai été abonné 21 mois à ce jeu. A y réfléchir c'est le petit truc qui m'a fait foirer mes exams et rattrapages. Apparement les gens comme moi doivent se concentrer sur une chose et rester sérieux pour ne pas se perdre... Un petit plaisir, un coup de délire de pote peut tourner mal, même pour moi. Je me sentais au dessus de ça, j'avais une certaine conscience et j'aurai voulu faire la part des choses. Malheureusement mon moral n'était pas au mieux je perd vite pied. Je ne peux pas en vouloir aux potes qui m'ont mis là dedans, ni au jeu en lui même.
Le pire c'est que j'ai eut du mal à m'y mettre, comme un fumeur qui reprend la clope. Ca m'a coupé de mes projets et j'ai perdu pied avec ma vie qui perdait son sens. J'ai perdu beaucoup de temps mais rien est perdu je pense... Il faut juste que je relance la machine.
Remettre de l'essence, recharger la batterie et essayer de démarrer le moteur, histoire d'arriver au moins jusqu'au garagiste.
Tiens, ma soeur va revenir cet été pour faire son stage dans l'édition. Son chéri partant à l'étranger elle préfère ne pas rester seule dans leur apart. Elle a l'air de me considérer toujours de la même façon. Elle ne veut pas comprendre que j'ai des soucis et qu'elle ne peut pas me forcer à être heureux pour lui faire plaisir...
Les parents ont été cool, j'ai passé un bon moment. Sur le chemin il tombait des grêlons, c'était beau sur la chaussé. Ca m'a fait penser à la neige...
J'avais mal à la tête aprés par contre. A croire que ça ne me réussi pas de reprendre un rythme normal sans récupérer des douleurs...
C'est vraiment peinible, ça me coupe l'envie de faire quoi que ce soit. D'ailleurs je suis fatigué ce soir, je n'ai pas envie de sortir. J'ai même la flemme de me faire à manger...
Trop dur de se remettre au travail quand on se laisse vivre depuis un moment... Il faudrait que j'aille m'inscrire aux cours, histoire de pouvoir tenter les exams. Histoire d'avoir essayé d'avancer cette année.
Sinon j'ai résilié mon compte wow aujourd'hui. J'ai regardé, j'ai été abonné 21 mois à ce jeu. A y réfléchir c'est le petit truc qui m'a fait foirer mes exams et rattrapages. Apparement les gens comme moi doivent se concentrer sur une chose et rester sérieux pour ne pas se perdre... Un petit plaisir, un coup de délire de pote peut tourner mal, même pour moi. Je me sentais au dessus de ça, j'avais une certaine conscience et j'aurai voulu faire la part des choses. Malheureusement mon moral n'était pas au mieux je perd vite pied. Je ne peux pas en vouloir aux potes qui m'ont mis là dedans, ni au jeu en lui même.
Le pire c'est que j'ai eut du mal à m'y mettre, comme un fumeur qui reprend la clope. Ca m'a coupé de mes projets et j'ai perdu pied avec ma vie qui perdait son sens. J'ai perdu beaucoup de temps mais rien est perdu je pense... Il faut juste que je relance la machine.
Remettre de l'essence, recharger la batterie et essayer de démarrer le moteur, histoire d'arriver au moins jusqu'au garagiste.
Tiens, ma soeur va revenir cet été pour faire son stage dans l'édition. Son chéri partant à l'étranger elle préfère ne pas rester seule dans leur apart. Elle a l'air de me considérer toujours de la même façon. Elle ne veut pas comprendre que j'ai des soucis et qu'elle ne peut pas me forcer à être heureux pour lui faire plaisir...
Mardi 20 mars 2007 à 17:10
Nous savons que dans l'univers tout est cyclique. Tout se reproduit à l'infinie tant qu'il y a de l'energie et que l'équilibre est maintenu.Un cycle peut être associé au temps et lorsqu'il atteind une stabilité on peut parler de rythme.
La notion de rythme impose une certaine régularité. Un rythme peut s'accélérer ou ralentir, être décallé et diverses autres perturbations, mais il doit y avoir un sens.
A partir de là, on peut dire que toute chose en mouvement tend vers un rythme. Selon les matériaux, les forces en jeu la cadence sera plus ou moins rapide.
En tant qu'être vivant nous nous devons en avoir conscience pour s'adapter le mieux possible à notre environnement.
Un rythme basique est caractérisé par une succession de changement de phase caractérisé par une amplitude maximum et minimum. Haut de la vague, creux de la vague: ceci pouvant être considérés aux deux opposés.
Pour repérer un rythme il faut avoir différentes choses en tête:
- Déterminer le paroxisme d'une phase
- Déterminer la phase: montant ou descendante
Les phases sont les éléments successif qui mis bout à bout forme un rythme. Une phase peut être imagée par une courbe caractéristique, variant d'intensité.
On peut immaginer une tension entre deux personnes, qui va monter par accoup de façon atemporelle. Selon les mots et les actions elle augmentera jusqu'à atteindre un paroxisme, engendrant une nouvelle phase. La conclusion de chaque phase construira, éloignera ou rapprochera la relation.
Les changements de phases relationnelles tendent malgré tout vers un rythme, pas totalement hors du temps. En général le rythme est trés élevé au départ et se stabilise plus ou moins rapidement. Même une fois stabilisé les phases sont montantes ou descendantes.
Selon le rythme les phases montantes et descendantes ne seront pas égale. La phase montante peut augmenter trés rapide puis atteindre doucement le paroxisme d'une forme tendant vers l'arondis; tandis que la descendante peut redescendre aussi rapidement puis atteindre le fond lentement formant ainsi un pique. Voilà une chtite courbe comme exemple.
En musique, chaque instrument forme un son possédant sa propre fréquence, intensité etc ayant une sorte de rythme qui lui est propre donc.
Je considère donc qu'une chanson est comme un monde à elle toute seule...
(On va encore me prendre pour un fou mais tant pis )
La notion de rythme impose une certaine régularité. Un rythme peut s'accélérer ou ralentir, être décallé et diverses autres perturbations, mais il doit y avoir un sens.
A partir de là, on peut dire que toute chose en mouvement tend vers un rythme. Selon les matériaux, les forces en jeu la cadence sera plus ou moins rapide.
En tant qu'être vivant nous nous devons en avoir conscience pour s'adapter le mieux possible à notre environnement.
Un rythme basique est caractérisé par une succession de changement de phase caractérisé par une amplitude maximum et minimum. Haut de la vague, creux de la vague: ceci pouvant être considérés aux deux opposés.
Pour repérer un rythme il faut avoir différentes choses en tête:
- Déterminer le paroxisme d'une phase
- Déterminer la phase: montant ou descendante
Les phases sont les éléments successif qui mis bout à bout forme un rythme. Une phase peut être imagée par une courbe caractéristique, variant d'intensité.
On peut immaginer une tension entre deux personnes, qui va monter par accoup de façon atemporelle. Selon les mots et les actions elle augmentera jusqu'à atteindre un paroxisme, engendrant une nouvelle phase. La conclusion de chaque phase construira, éloignera ou rapprochera la relation.
Les changements de phases relationnelles tendent malgré tout vers un rythme, pas totalement hors du temps. En général le rythme est trés élevé au départ et se stabilise plus ou moins rapidement. Même une fois stabilisé les phases sont montantes ou descendantes.
Selon le rythme les phases montantes et descendantes ne seront pas égale. La phase montante peut augmenter trés rapide puis atteindre doucement le paroxisme d'une forme tendant vers l'arondis; tandis que la descendante peut redescendre aussi rapidement puis atteindre le fond lentement formant ainsi un pique. Voilà une chtite courbe comme exemple.
En musique, chaque instrument forme un son possédant sa propre fréquence, intensité etc ayant une sorte de rythme qui lui est propre donc.
Je considère donc qu'une chanson est comme un monde à elle toute seule...
(On va encore me prendre pour un fou mais tant pis )
Mardi 20 mars 2007 à 2:03
Voilà, c'est comme ça: je suis toujours seul. L'impression d'être en hors de la vie.
Ce soir encore j'ai passé une bonne soirée, bouffe, cinéma toussa toussa... J'ai fait la connaissance avec Vero une fille géniale, mais comme toujours il faut qu'elle soit prise.
Elle pourrait être une amie de plus, ça n'est pas parce qu'elle me plait que ça ne va pas m'empêcher de l'apprécier.
Un jour je trouverai bien chaussure à mon pied, comme on dit vulgairement...
Ce qui est lourd c'est que je n'arrive pas à y croire, j'ai tellement passé de temps à souffrir de la solitude que ca a pris un sens dans ma vie. C'est devenu normal depuis longtemps pour moi alors j'ai trouvé tout un tas de palliatifs. Je m'empêche de m'apitoyer sur mon sort et de m'imaginer avec une chance avec aucune fille. J'ai horreur d'être déçu et encore plus des râteaux! J'ai l'impression de jouer la carte du détachement, mais en faite c'est plus du renoncement. Je ne préfère plus y croire pour ne pas me blesser. Sauf que même avec quelqu'un, quand il y a des raisons d'y croire je me méfie, et ça tue la relation...
Ceux qui peuvent lire mon blog peuvent apprécier mon discours, mais dans la pratique il n'y a plus grand chose!
C'est pareil que pour les bonnes soirées: je ne préfère pas croire en une relation car j'ai trop peur de la perdre... Du coup je fini avec quelqu'un qui ne me correspond pas et qui ne m'apporte pas beaucoup, comme ça je n'ai pas peur de me retrouver seul! Sauf que ça me saoul vite et j'arrète...
Oui je sais! C'est vraiment dégueulasse, et ça me saoul de dire ça vu que des filles me lisent.
Genre, c'est le mec il parle d'amour alors qu'il est incapable de vivre ses propres histoires!
C'est vraiment l'enfer, d'autant plus que j'en ai trop besoin... J'ai trop trop de mal à donner un sens à ma vie sans l'amour d'une femme pour me donner la force. Enfin, cela a surement un rapport avec la perte prématurée de ma mère. J'ai d'ailleurs les larmes aux yeux en y pensant. Il n'y avait qu'elle qui croyait en moi quoi que je fasse. La seule qui me défende fasse à mon père. Elle m'aimait malgré sa distance, et j'aurai tout fait pour la rendre heureuse... J'aurai même préféré partir à sa place. Elle qui avait toujours été une femme modèle, vivant sainement et se dévouant pour les autres.
Pourquoi m'a t'elle laissé sans rien laissé derrière elle!? Je comptais moins que son orgueuil de merde!? Ca ne devait pas finir comme ça, en froid derrière une porte...
Maman, tu n'as pas été sincère avec nous, tu nous as tout caché. La mort était-elle plus facile pour toi?
Ces questions définitivement sans réponse... Parfois je rêve que tu reviens de voyage, parfois je t'écris une lettre pour te donner des nouvelles. Mais tu n'existes plus que dans ma mémoire... Tu étais déjà loin de mon cœur quand tu étais là, cette fin en queue de poisson a pris le sens d'un abandon pour moi... J'ai toujours la certitude que les gens auxquels je tiens partirons un jour, par surprise, sans prévenir. Je peux m'énerver, pleurer, désespéré, je suis SEUL!
Personne ne peut me rassurer comme tu le faisais, personne ne me donne la force de continuer par amour. Non, si je continue c'est par acharnement et je n'irai pas à la facilité comme toi. Ton geste, si tu en étais consciente a dû être dur à décider mais tu n'as dû souffrir que quelques secondes... Le temps de te sentir partir, brisé de part en part.
Tu croyais alors fuir ta maladie "imaginaire" surement?
JP m'a appris récemment que tu n'avais plus aucune trace de cancer dans ton sang. J'en étais resté depuis 10 ans sur le faite que tu étais en phase terminale du cancer généralisé.
Je n'ai pas vu les analyses et j'ai du mal à y croire!!! JAMAIS je ne connaitrai la vérité, tout est flou dans cette fichu histoire! Une petite explication vite fait, griffonné je ne sais où, ça ne coutait rien MERDE!
A coté de ça, l'autre vieux lâche qui préfère enterrer la faire pour arranger l'hôpital! Ah oui c'est sûr tu es bien morte! Ça on aurait rien pu changer, mais merde et la justice?!
Tu es morte par la négligence de quelqu'un alors même si c'était ton choix (que je ne respecte pas du tout) la loi devait s'appliquer! Alors c'est sûr il y a des questions de gros sous, on aurait rien pu touché car cela aurait été considéré comme un suicide. Mais qu'est ce que je m'en TAPE de tout ce p*tain de pognon! Si des fois tu pouvais voir ce que j'en fait tu serai morte de rire.... Bravo, des années à glander en loupant ses études! Comme dit jp, si tu étais là ça ne se passerait pas comme ça. Ca c'est certain, justement... Ah non, ça n'est pas de ta faute, je détruit ma vie tout seul. Je suis entièrement responsable, je plaide coupable à 100%! Mais je suis bien punis en retour ne t'en fait pas, la vie est parfois juste malgré tout...
Merci maman pour ta bonne éducation, tu as bien fait attention à nous donner une vie équilibré et sans excès! J'ai toujours bien fait attention à ne pas te faire de peine même si j'avais l'air de défendre l'autre. A l'époque je cherchais sa reconnaissance, un statuts d'homme que je n'ai jamais obtenu. Tu n'aimais pas lorsqu'on s'accrochait alors je fuyais ses sermons avant qu'ils ne dégénèrent. Depuis que tu es parti je lui rend les coups: œil pour œil... Ma rage s'est libéré, il ne me fait plus peur bien qu'il arrive toujours à me blesser.
Tu restais avec lui pour nous mais regarde où ça nous a mené... Tu te forçais et je voyais bien que ça n'allait plus du tout. Les tensions se répercutait sur nous avec cette ambiance bizarre... Peut-être que si on avait été plus proche tu serai encore là. Pourtant cela me paraît inimaginable, comme si tu n'avais jamais existé. Il reste un grand vide dans mon cœur que j'ai refermé. Pourtant chaque fois que j'entends parler de mère, une douleur me rappel ce trou en moi.
Depuis que tu n'es plus là, la vie a perdu lentement de son importance, de son intensité. L'élan que tu m'as donné m'a emmené assez loin mais je me suis doucement enlisé.
Comme un pauvre gosse perdue dans la foule, regardant les autres passer et vivre leur vie.
Comme un enfant j'ai commencé à m'amuser pour passer le temps. J'ai fait n'importe quoi en attendant un reproche, une remontrance de ta part. Comme un mioche j'ai montré fièrement aux gens ce dont j'étais capable.
Puis je suis retourné à mes pâtés de sable, avec tout le sérieux nécessaire.
Les gens se sont attendris, m'ont tendu la main mais ça n'était pas la tienne... Ils m'ont fait la morale, ils m'ont grondé. Je leur ai dit que je serai sage mais je suis reparti m'amuser. "Arrête de gâcher ta vie tu vaux mieux que ça" m'a t'on dit.
C'est vrai et alors, quelle importance? Qu'est ce que ça change, que je meurs aujourd'hui ou demain? Je ne rend personne heureux vivant, je ne rendrai personne malheureux mort. Aucune influence, aucune importance, je ne suis plus rien.
La seule personne pour qui mon existence comptait vraiment est partie...
Ce soir encore j'ai passé une bonne soirée, bouffe, cinéma toussa toussa... J'ai fait la connaissance avec Vero une fille géniale, mais comme toujours il faut qu'elle soit prise.
Elle pourrait être une amie de plus, ça n'est pas parce qu'elle me plait que ça ne va pas m'empêcher de l'apprécier.
Un jour je trouverai bien chaussure à mon pied, comme on dit vulgairement...
Ce qui est lourd c'est que je n'arrive pas à y croire, j'ai tellement passé de temps à souffrir de la solitude que ca a pris un sens dans ma vie. C'est devenu normal depuis longtemps pour moi alors j'ai trouvé tout un tas de palliatifs. Je m'empêche de m'apitoyer sur mon sort et de m'imaginer avec une chance avec aucune fille. J'ai horreur d'être déçu et encore plus des râteaux! J'ai l'impression de jouer la carte du détachement, mais en faite c'est plus du renoncement. Je ne préfère plus y croire pour ne pas me blesser. Sauf que même avec quelqu'un, quand il y a des raisons d'y croire je me méfie, et ça tue la relation...
Ceux qui peuvent lire mon blog peuvent apprécier mon discours, mais dans la pratique il n'y a plus grand chose!
C'est pareil que pour les bonnes soirées: je ne préfère pas croire en une relation car j'ai trop peur de la perdre... Du coup je fini avec quelqu'un qui ne me correspond pas et qui ne m'apporte pas beaucoup, comme ça je n'ai pas peur de me retrouver seul! Sauf que ça me saoul vite et j'arrète...
Oui je sais! C'est vraiment dégueulasse, et ça me saoul de dire ça vu que des filles me lisent.
Genre, c'est le mec il parle d'amour alors qu'il est incapable de vivre ses propres histoires!
C'est vraiment l'enfer, d'autant plus que j'en ai trop besoin... J'ai trop trop de mal à donner un sens à ma vie sans l'amour d'une femme pour me donner la force. Enfin, cela a surement un rapport avec la perte prématurée de ma mère. J'ai d'ailleurs les larmes aux yeux en y pensant. Il n'y avait qu'elle qui croyait en moi quoi que je fasse. La seule qui me défende fasse à mon père. Elle m'aimait malgré sa distance, et j'aurai tout fait pour la rendre heureuse... J'aurai même préféré partir à sa place. Elle qui avait toujours été une femme modèle, vivant sainement et se dévouant pour les autres.
Pourquoi m'a t'elle laissé sans rien laissé derrière elle!? Je comptais moins que son orgueuil de merde!? Ca ne devait pas finir comme ça, en froid derrière une porte...
Maman, tu n'as pas été sincère avec nous, tu nous as tout caché. La mort était-elle plus facile pour toi?
Ces questions définitivement sans réponse... Parfois je rêve que tu reviens de voyage, parfois je t'écris une lettre pour te donner des nouvelles. Mais tu n'existes plus que dans ma mémoire... Tu étais déjà loin de mon cœur quand tu étais là, cette fin en queue de poisson a pris le sens d'un abandon pour moi... J'ai toujours la certitude que les gens auxquels je tiens partirons un jour, par surprise, sans prévenir. Je peux m'énerver, pleurer, désespéré, je suis SEUL!
Personne ne peut me rassurer comme tu le faisais, personne ne me donne la force de continuer par amour. Non, si je continue c'est par acharnement et je n'irai pas à la facilité comme toi. Ton geste, si tu en étais consciente a dû être dur à décider mais tu n'as dû souffrir que quelques secondes... Le temps de te sentir partir, brisé de part en part.
Tu croyais alors fuir ta maladie "imaginaire" surement?
JP m'a appris récemment que tu n'avais plus aucune trace de cancer dans ton sang. J'en étais resté depuis 10 ans sur le faite que tu étais en phase terminale du cancer généralisé.
Je n'ai pas vu les analyses et j'ai du mal à y croire!!! JAMAIS je ne connaitrai la vérité, tout est flou dans cette fichu histoire! Une petite explication vite fait, griffonné je ne sais où, ça ne coutait rien MERDE!
A coté de ça, l'autre vieux lâche qui préfère enterrer la faire pour arranger l'hôpital! Ah oui c'est sûr tu es bien morte! Ça on aurait rien pu changer, mais merde et la justice?!
Tu es morte par la négligence de quelqu'un alors même si c'était ton choix (que je ne respecte pas du tout) la loi devait s'appliquer! Alors c'est sûr il y a des questions de gros sous, on aurait rien pu touché car cela aurait été considéré comme un suicide. Mais qu'est ce que je m'en TAPE de tout ce p*tain de pognon! Si des fois tu pouvais voir ce que j'en fait tu serai morte de rire.... Bravo, des années à glander en loupant ses études! Comme dit jp, si tu étais là ça ne se passerait pas comme ça. Ca c'est certain, justement... Ah non, ça n'est pas de ta faute, je détruit ma vie tout seul. Je suis entièrement responsable, je plaide coupable à 100%! Mais je suis bien punis en retour ne t'en fait pas, la vie est parfois juste malgré tout...
Merci maman pour ta bonne éducation, tu as bien fait attention à nous donner une vie équilibré et sans excès! J'ai toujours bien fait attention à ne pas te faire de peine même si j'avais l'air de défendre l'autre. A l'époque je cherchais sa reconnaissance, un statuts d'homme que je n'ai jamais obtenu. Tu n'aimais pas lorsqu'on s'accrochait alors je fuyais ses sermons avant qu'ils ne dégénèrent. Depuis que tu es parti je lui rend les coups: œil pour œil... Ma rage s'est libéré, il ne me fait plus peur bien qu'il arrive toujours à me blesser.
Tu restais avec lui pour nous mais regarde où ça nous a mené... Tu te forçais et je voyais bien que ça n'allait plus du tout. Les tensions se répercutait sur nous avec cette ambiance bizarre... Peut-être que si on avait été plus proche tu serai encore là. Pourtant cela me paraît inimaginable, comme si tu n'avais jamais existé. Il reste un grand vide dans mon cœur que j'ai refermé. Pourtant chaque fois que j'entends parler de mère, une douleur me rappel ce trou en moi.
Depuis que tu n'es plus là, la vie a perdu lentement de son importance, de son intensité. L'élan que tu m'as donné m'a emmené assez loin mais je me suis doucement enlisé.
Comme un pauvre gosse perdue dans la foule, regardant les autres passer et vivre leur vie.
Comme un enfant j'ai commencé à m'amuser pour passer le temps. J'ai fait n'importe quoi en attendant un reproche, une remontrance de ta part. Comme un mioche j'ai montré fièrement aux gens ce dont j'étais capable.
Puis je suis retourné à mes pâtés de sable, avec tout le sérieux nécessaire.
Les gens se sont attendris, m'ont tendu la main mais ça n'était pas la tienne... Ils m'ont fait la morale, ils m'ont grondé. Je leur ai dit que je serai sage mais je suis reparti m'amuser. "Arrête de gâcher ta vie tu vaux mieux que ça" m'a t'on dit.
C'est vrai et alors, quelle importance? Qu'est ce que ça change, que je meurs aujourd'hui ou demain? Je ne rend personne heureux vivant, je ne rendrai personne malheureux mort. Aucune influence, aucune importance, je ne suis plus rien.
La seule personne pour qui mon existence comptait vraiment est partie...