Marcow

Tout et n'importe quoi

Vendredi 16 mars 2007 à 18:11

(Je continu la suite de mes pensées dans cette article, à propos de mon attitude rebelle)
Ce qui est abérant c'est que ça va jusque dans mes rapports avec les femmes. Si une me plait, je me met sur mes gardes car elle est assimilé à un danger potenciel pour ma liberté. Je n'aime pas que les gens ai du pouvoir sur moi et le faite d'avoir de l'attirance me met dans un été de faiblesse qui m'exaspère.
Si je suis dans une bonne période, je fait abstraction de ce sentiment et ça se passe bien. La demoiselle ne voit rien, j'ai le plaisir de passer un bon moment avec elle et ça s'arrète là... Sauf si bien sûr elle me "saute dessus", ce qui arrive de temps en temps, heureusement pour moi! (merci à celle qui savent prendre les devant pour les orgueuilleux, victime de leur propre stupidité)
Voilà, j'ai donc horreur que l'on perce à jour ce que je ressens, surtout parceque j'en fait toujours trop. Ca m'enerve de toujours réagir au quart de tour, c'est pire que tout. Je deteste être blessé pour un rien, j'ai horreur d'être en transe devant une fille et j'ai surtout horreure d'être gèné. Ca c'est m'a "spécialité", monsieur le timide-coincé de service qui voudrait s'enfuir lorsqu'on le regarde de trop prét! Qu'est ce que ça a pu me saouler ce truc! Au collège c'était l'horreur, qui ne s'est pas amusé avec ma sensibilité exacerbé à l'époque? J'aurai tous voulu les voir mourrir, parfois je rêvais qu'il y ai le feu dans cette demeure de l'enfer. Rien ne sera jamais pire que cette période. Rien car j'ai perdu une partie de moi même. Je suis mort à ce moment, le petit Marcow naïf, toujours sincère, gentillet et ne voyant pas l'intéret de se défendre; a péri, enseveli par l'égoisme, l'indifférence et la cruauté humaine.

Tellement couillon à l'époque que malgré cette agonie social, il ne voyait pas
une sortie pourtant simple: la destruction. Non, le ptit père restait dans sa bubulle en rêvant, son monde était si beau, pourquoi arréter alors qu'il était bien tout seul?

Quand je pense à mon enfance je me dis que j'étais un peu autiste quand même!
Forcement, arrivé au collège où c'était la guerre, avec la puberté qui changeait tous les rapports... Ce fut le massacre pour moi ! J'ai commencé en 6eme comme petit élève modèle bien sage, pour finir en 3eme à ne plus écouter (c'était dur vu le quartier aussi) ni prendre les cours. De toute façon j'avais décidé de ne pas mettre les lunettes alors que je ne voyais plus rien au tableau...
Dommage pour les filles, elles n'étaient pas toutes "méchantes" à se moquer ou autre mais j'avais tellement peur et pas confiance, qu'aucune n'a pu m'approcher de prét. A si j'ai quand même dû faire un bisou sur la joue lors d'un jeu débile. D'ailleurs la pauvre je l'ai revu elle est resté "vieille fille", elle a dû rater son adolescence aussi et n'est pas pressé d'avoir un homme. Quel gachi une fille aussi mignone! Dommage aussi que je l'ai revu à un mauvais moment: je sortais d'une relation terminée par ma faute. En plus vu l'image décontracté que je donne et ma vie de glandeur, ça ne donne pas envie de faire confiance pour un "premier". Surtout avec sa copine langue-de-vipère et artificielle au possible, je n'aurai aucune crédibilité. De toute façon je ne l'ai pas recroisé depuis un moment...

Enfin, à part un bisou malencontreux, qui en plus ne lui a pas faire plaisir (fallait pas en demander trop non plus ) rien de trés concret. Vu que je me faisait casser dés que quelqu'un ne me connaissait pas:
"Pourquoi tu lui parles?!
Bah il a l'air sympa...
Arrète il est débile!
Il avait pas l'air..."
Bon d'accord j'étais neuneu mais bon... Toujours est-il que la demoiselle en question ne m'a plus trop reparlé. Dommage, la compagnie d'une fofolle pareil m'aurait surement décrispé. Loupé, il a fallu attendre des années avant que je ne réabilite les filles comme des êtres non-nuisible à ma dignité d'homme... 

Par glitter.girl le Vendredi 16 mars 2007 à 18:31
tu sais toutes les filles ne sont pas "nuisible" comme tu le dis. C'est dommage que tu te méfie trop, car on est pas toutes langue de vipère, ou des personne en qui on ne peu pas faire confiance ou autre... Enfin, c'est vrai que sa a pas du être simple pour toi... Enfin voila. Sa m'a bcp touché ce que tu as ecris. bzx, et bonne continuation.
Par clair.de.lune le Samedi 17 mars 2007 à 18:30
Les bisous sur la joue, c'est trop feune !!!

Tu peux en avoir plein tout le temps si tu joues bien ton coup éhé...
Ca fait du bien les bisous sur la joue, mais faut vous raser, parce que sinon, ça piqueeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee **air nuisible** lol

Oui, les filles sont nuisibles, mais uniquement parce que les mecs les font passer comme telles !!
Dans la vraie vie, on est trop sympas, douces, tendres, amoureuses, jolies, fréquentables, baisables, drôles, désirables (oui, oui, TOUTES), complexées juste ce qu'il faut, confiantes, amusantes, INDISPENSABLES quoi......................
Ah nan, t'es pas d'accord ?
Ben tant pis pour toi, je suis d'accord toute seule avec moi-même... :p
T'inquiète, ça m'arrive souvent ptdr (et là, vous êtes priés de au moins sourire à ma blague sivouplé...)
Par Marcow le Dimanche 18 mars 2007 à 23:44
Hihi, tu me fait peur quand tu prends ton air *nuisible*! mdr
Indispensable on dirait bien malheureusement mais pour toutes les autres qualités je doute un peu :p

Pour tes blagues pas besoin de me prier pour rigoler, tu sais bien que je suis fan :D
 

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