Marcow

Tout et n'importe quoi

Mercredi 14 mars 2007 à 2:37

Voilà, j'ai sorti le lien que j'avais rajouté dans la fin de l'article précédent car ça salit le sujet et n'est pas dans le même registre. Ca faisait bizare, mais comme je suis tombé sur un article sur le sujet du viol, sur le blog de Emma. J'ai eu envie de parler du sujet même si ça n'a rien à voir avec mes autres articles.

Voilà le sujet du viol fait parti de ces choses qui me mettent hors de moi rapidement. Déjà que je suis trés intolérant pour tout ce qui concerne les injustices, la violence, les abus de pouvoir, mais pour moi un femme c'est sacré à la base. Des fois j'aurai aimé être dans la police ou dans la justice pour avoir l'impression d'améliorer les choses. Mais ça ne changerait rien, c'est le systême qui déconne à la base. Il y a trop de choses à refaire, trop de choses anormal. Alors je me dis que je devrais faire de la politique pour pouvoir changer les choses. Mais pour arriver en haut du système, il faut devenir le système et je suis trop rebel pour ça. Alors je me dis qu'il faudrait faire la révolution pour recréer un nouveau systême. Mais qui le fera fonctionner? Les mêmes bien sûr, le monde ne changera pas même avec toute la volonté! Il ne faut pas être utopiste, le monde c'est les gens qui le font, plus ou moins à leur image. Moi je ne suis qu'un pixel sur un gigantesque écran...
Dans mon sang bouillonne la haine contre le mal. Mais la haine engendre la haine et ne doit être utilisé que pour défendre le bien. Il faut montrer l'exemple, rayonner par ses actions, c'est le seul moyen. Mais je m'écarte du sujet

J'ai tant d'amour à donner et pourtant j'ai gardé de la haine contre mes semblables qui font souffrir les autres... Les hommes comme les femmes, car malgré l'image que je m'en fait toujours, je sais qu'au fond c'est la même chose. La douleur physique fait parfois moins souffrance que celle psychologique. Parfois il vaut mieux se prendre un coup par son père plutôt qu'il nous juge comme un fils indigne, raté, bon à rien. Il vaut mieux se prendre une gifle par sa mêre que de subir son indifférence.

Voilà j'en viens à parler de moi... Bon c'est normal c'est mon blog!

Mardi 13 mars 2007 à 20:40

Je vous aime!!!

Oula je me retransforme en bisounours moi !

Non sérieux, il y a beaucoup de monde bien, intéressants et attachant. Pas beaucoup de mec par contre: dommage. Mais c'est surement une activité qui ne bouge pas assez. C'est bien connu les femmes aiment communiquer, les hommes agir. (Oh mon dieu qu'est ce que je fait là moi?)

Bref, même si je n'ai pas le temps de laisser des com partout, ca fait du bien de voir qu'on partage les mêmes soucis existenciels et sentimentaux avec d'autres. Les joies, le bonheur et les délires donnent envie de vivre aussi.

Dommage que beaucoup voit le blog comme un produit de consomation, avec une démarche marketing, la clientele, la performance, l'attractivité... Genre j'ai vu des blog de personnes en détresse qui lachait tout et les blogeur laissant des message genre " Ouai trop bien ton blog, je kif ton style".

Enfin, aussi je ne voudrai pas faire le rabat-joie, mais les filles: faites gaffe! On ne va pas commencer à psychoter mais ne laissez pas trop d'infos perso, on sait jamais. Ca ne coùte rien de rester prudente, car on ne sait jamais, il se passe tellement de trucs horribles de nos jours! Je vous invite d'ailleurs à consulter l'article de youpla-boom à ce sujet.

Mardi 13 mars 2007 à 20:01

Bon, ça devient trop sérieux, on va finir par me prendre pour un coincé! (et vous n'auriez pas tord )

Alors puisque c'est ça je vais vous donner un aperçus non censuré des cochonerie qui se passent chez moi! (Ceci est interdit aux moins de 21ans! Eh oui il faut attendre un peu! Le sexe c'est pour les adultes seulement )



Eh oui, même les peluches ont le droit de se faire plaisir non ?

ps: aucun animal n'a été blessé lors du tournage

Mardi 13 mars 2007 à 19:17

En y réfléchissant bien, plus je vais écrire sur ce blog, plus j'ai de chance de me faire repérer par des gens que je connais. Pire, plus j'en mettrai, plus celà m'atteindra de dévoiler involontairement mes secrets et ma manière de penser. Là ca serait la facade qui s'effondre, tout mon jeu de carte qui m'échappe. Je vous entend déjà penser: d'accord c'est le mec qui se cache derrière son image avenante. Autant le dire tout de suite, c'est carrement ça. Je me protège des "attaques" extérieurs, en composant une interface de personnalité plus ou moins proche de moi selon les personnes et la situation.
Tout le monde fait ça, mais plus on est sensible plus on en a besoin. Sauf que moi ça va un peu trop loin car j'aime tout contrôler, faire exactement ce que j'ai envie: être libre. Mais ça a un prix: le mensonge et la distance avec les autres principalement. Pendant que j'y suis, voilà un ptit bilan de mes rapports avec les autres.

Les avantages: Je suis agréable à vivre : quasiement tout le monde m'apprécie, à des degrés plus ou moins élevés. On m'excuse presque tout, je ne me sens obligé de rien. Je peux aller voir qui je veux, quasiement quand je veux. Je n'ai pas d'ennemis. Les gens s'estiment heureux lorsqu'ils m'ont avec eux. Je n'ai de compte à rendre à personne. Je m'adapte à des milieux totalement différents, et avec tout les ages, surtout quand il s'agit de s'amuser et faire la fête... On me fait rapidement confiance et quand il y a le feeling je peux devenir trés proche de quelqu'un rapidement. J'ai l'abitude d'écouter et comprendre les autres.

Inconvénient: Je décois mes proches. J'ai souvent besoin de prendre de la distance quand les relations prennent un tournant qui ne me plait pas. Je me sens seul parmis des gens qui ne me comprennent pas, qui ne me connaissent pas. Je ne peux pas m'imposer car j'essai toujours de faire plaisir. Je rate des personnes qui ont l'air intéressantes, car je ne veux jamais paraître lourd et insistant. Sinon, forcement on trouve que j'abuse quand je fait le mort pendant des mois...
Je n'arrive pas à me mettre en colère, je fuis les disputes, je ne supporte pas qu'on me colle. Je ne fait pas toujours ce dont j'ai vraiment envie, et me laisse souvent aller. Finalement, je ne m'entoure pas forcement de personnes qui me correspondent vraiment...

Pour les histoires sentimentals ça se complique gravement du coup, car j'ai du mal à me dévoiler et dire ce qui ne va pas. C'est arrivé qu'une fille dont j'étais amoureux me blessait en permanence par son attitude et que je n'arrive pas à lui dire, tout en encaissant. Pour elle tout allait bien, c'était parfait, jusqu'à ce que je n'en puisse plus... Quand j'ai déballé le sac, je lui en voulais vraiment et bien qu'elle voulait changer, pour moi c'était trop tard. J'estimais que la relation devait évoluer d'elle même et que si elle ne me comprenait pas, et ne voyait rien c'est que notre relation voué à l'echec. En faite j'aurai dû tout simplement faire ce que j'avais envie et montrer chaque fois qu'un truc n'allait pas. Plutôt que vouloir tout lui donner pour la rendre heureuse sans penser à moi.

Bref j'ai du mal à m'impliquer et avoir une relation saine avec quelqu'un. Super, j'aime m'auto-casser! La raison de tout ça, c'est que j'ai peur des relations trop fusionnelles. N'ayant pas confiance en moi, ni les autres et ne sachant pas mettre de barrière, je garde mes distances pour que personne ne m'atteigne. Quand la barrière est franchi, je perd en parti mon identité car je m'oublie dans la relation. Que ce soit en amour ou amitié bien sûr... Mmmm, mais qui suis-je vraiment? Où ai-je mis mon mode d'emploi encore?

Dans tout les cas, une chose est sûr: je suis toujours avec les personnes quand celà me fait plaisir, et ça c'est sincère! De plus je tiens à ce que tout le monde soit heureux, et je suis prét à aider quand il y a vraiment besoin.
 C'est normal, j'ai presque plus de satisfaction à faire des choses pour les autres que pour moi! Surement mon coté empathique, surdévelopper, j'ai du mal à définir la frontière entre moi et les autres. Aprés je m'étonne de faire des périodes d'ermitage!

Ptete pour ça que je kif le blog, j'existe un peu plus parcequ'ici il n'y a plus de frontière. On peut tout dire, tout entendre, pas de tabou. La distance ce fait d'elle même, par le support informatique. Oulala quelle analyse poussé, ceux qui auront lu tout ça vont me prendre pour un malade! et vous n'auriez pas tord

Pensée zen: "Le zen n'est pas un pansement. On ne peut pas se contenter de l'appliquer en cas d'urgence. Si vous désirez bénéficier de ce qu'il a à offrir vous devez vous mettre au travail dés à présent."

Mardi 13 mars 2007 à 17:53

Positivons, aprés avoir pondu tout ça je ne me sens pas vraiment mieux. J'ai même effacé l'article que j'avais fait aprés que je trouvais nul. Je ne vais pas m'auto-poluer par des remarques inutiles, style auto-jugement et les choses que j'aimerai faire qui ne se feront jamais.
J'aimerai aller à l'essenciel et ne pas m'égarer sur des détails du quotiden. Je ferai mieux de corriger les fautes, ça doit être désagréable à lire. Mais bon, aprés tout je suis chez moi ici!
D'ailleurs je ne m'ennuie pas avec la présentation, j'ai tout gardé d'origine ici. Y a que du pure texte à lire.
Si je n'arrive pas à m'imposé ici, on est mal baré
C'est vrai qu'on se sent libre sur un blog, alors on en profite pour décharger les saloperies de notre vie. Ce qui m'inquiète, c'est que comme dit Claire.de.lune les blog c'est plutôt un truc de fille, vu que ça fait journal intime. Moi qui essait de travailler ma virilité, le blogage c'est pas bon pour mon régime!

J'espère ne pas faire trop de longueur dans mes articles, car c'est ce qu'on me reproche en vrai quand je raconte une histoire. Je vais fait fuir tout le monde! (je kif cette petite bouille de malheureux!) En tout cas, j'essai de ne pas trop raconter mes malheurs, car je pourai y passer des heures et ça n'avancerait à rien.

Mardi 13 mars 2007 à 3:30

Tout ça, pour ça... Comment est-ce possible?
Réveillez moi, je cauchemarde!!!
J'y étais presque, à deux doigts du bonheur encore une fois...

Nous n'étions plus qu'un, la vie prenait son sens. Le bonheur était si simple, si facile...
Bloti contre toi, prét de ta chaleur, le destin nous avait rapproché.
Te sentir vivre à coté de moi, m'innondait d'une chaleur indéfinissable.
J'avais trouvé la paix, la sécurité, comme un bébé retrouvant la présence maternelle.

Sentant ma présence tu tendais tes sens, ta respiration faisant echo à la mienne.
J'aurai pu m'endormir sereinement, mais j'étais trop bien pour laisser terminer ce moment.
C'est le coeur débordant de reconnaissance, pour toi, la source de mon bien être
que je frolais de la main ton dos, emitouflé sous ta veste.
Sur lui, je dessinais des formes changeantes, inventant un rituel de caresse secret
remerciant la déesse qu'il ne fallait pas rêveiller.

Mais tu feignais le sommeil, intriguée mais n'osant bouger,
comme si tu savais que celà aurait tout arrêté...
Pendant une eternité, ma main répétais sans cesse ma prière plus forte,
le frolement s'étant transformé en caresse.
Une force inconnue semblait circuler entre nous, et ma peur grandissait, craignant ta fuite.

Ma joie se teignait de tristesse, celà n'avait pas de sens.
Tu étais trop belle, trop innocente, trop pure, pour moi.
Mais je continuais, grapillant ce bout d'éternité alongé à tes cotés.
Qui était-tu? Que voulait-tu? Aurai-je pu te rendre heureuse?
Le saurai-je un jour? Pourai-tu me pardonner?
A mesure que tu t'abituais à mes caresses,je me décontractais et me rapprochait encore plus de toi, le plus prét possible sans me coller.

Tu te tournais légerement vers moi, et malgré tes vétements, je devinais la chaleur de ton corps.
Je n'y croyais pas, et pourtant tu ne résistais plus.
Chaque geste semblait prendre un sens, et était comme guidé par la tendresse même.
Puis, tu t'es doucement tournée vers moi, ton visage m'est alors de nouveau apparut,
tes yeux cherchant les miens, plein de questions.

Je t'ai caressé le visage avant de t'embrasser, tu avais un goùt de paradis...
Interompant la dance, tu m'as dit ces mots, tel une confession:
Je suis bien avec toi.

Tu me donnais ton coeur, mais tu voulais savoir pourquoi, ou plutôt comment...
Comment je pouvais faire ça, si celà ne me dérangeait pas de faire ça à mon pote.
Depuis mon nuage, plus rien avait d'importance, je t'ai lancé le sourire sur les lêvres:
"Je ne veux plus agir en fonction des autres, faire ce que j'ai envie, au jour le jour,
je ne veux plus me prendre la tête"

J'étais content, j'avais vaincu mes peurs, lachant mes doutes et mes craintes,
j'y avais cru et ça avait marché !
Le monde était à moi et je me foutais du reste...
Celà t'as semblé étrange, moi qui une heure auparavant te faisait l'éloge de mon ami.
Au sommet de ma gloire, plein de désirs pour toi, je caressais maintenant tes divines formes. Un regard curieux se posait sur nous, je lui répondais d'un sourrire provocateur.  Puis je continuais à t'embrasser, croyant que rien ne pourai plus m'empècher de te garder pour moi. L'excitation commencant à monter, tu m'as dit qu'il fallait mieux dormir.

C'est alors que tout à basculé et que la culpabilité m'a envahie. Je t'ai laissé, seule, et suit sorti pleurer. Transpercé de toute part, mon sang se glacait à mesure que je réalisais.
J'avais trahi une amitié, sans scrupule je lui avais volé.

J'avais tellement voulu l'aider!
Lui qui l'aimait tant, lui qui s'était surpassé en l'ayant embrassé en début de soirée.
Etait-il déjà sortie avec une fille, lui le grand timide? Un bogoss était arrivé et avait commencé à tchatcher sa bien-aimé. La grande dispute qui en suivit, allant presque jusqu'au poing, mon pote blessé avait fini par s'allonger sur la route, les bras en croix.
C'est elle qu'on vint cherché, pour le ramené à la raison. J'étais là, mais elle ne comprenait pas qu'un mec qu'elle connaissait à peine, se mette dans des états pareils.
C'est moi qui lui expliqua, de ma propre expérience, comment un jeune homme pouvait s'éprendre corps et âme à une jolie demoiselle telle qu'elle.
C'est en voulant réconcillier tout le monde que je fis sa connaissance...

L'histoire se rembobinait, me rappelant avoir vu mon pote me demander mes clefs de voiture pour aller dormir, pendant que je parlais de lui. J'allais voir s'il dormait bien, je me sentais comme le bourreau vérifiant que le condamné est bien mort.
Sale et indigne, je décidais de ranger les relief de la fête.
Elle me manquait, je décidais de la rejoindre. Mais revenu dans la salle l'ambiance était pour moi celle d'un tribunal. Elle avait changé de place, à l'équard des autres dormeurs.
Elle semblait m'attendre, et j'avancais à pas de loup jusqu'à ce que je pose mes chaussures.
Quelqu'un me regarda et n'osant plus m'alonger prét elle, je repartis dehors.

C'est toute seule qu'elle se réveilla, à coup d'oreiller des autres fétards agités. Toute seule elle dû affronter le regard noir des autres avec la honte de celles qui se font "emballer" par plusieurs mecs dans une soirée.

Car non je n'étais pas là. Non je n'y croyais plus, peut-être avait-elle trop but ou avait succombé à mes avances sans trop le vouloir? De toute façon elle était trop bien pour que je m'affiche avec elle.

Elle me dit qu'avec les autres ça n'aurait pas duré, et qu'avec moi elle ne savait pas si ça marcherait. J'entendis: "Ca ne marchera surement pas nous deux". Elle avait peut-être peur que je la laisse, je pris sa gène pour de la distance...
Je voulais épargner mon pote de la souffrance de nous voir tout les deux tout de suite.
Sur mon portable j'avais déjà noté Juliette avec le 06... Jamais je ne te l'ai demandé.
Car je pensais te revoir, et à un moment plus calme.
J'aurai dû t'emmener loin, y croire jusqu'au bout! Mais j'attendais naïvement le pardon du groupe. Ce groupe qui parlait tout bas de "l'autre sa**pe" en parlant de toi...

Nous nous sommes séparé poliment devant les autres, moi trés gené, toi dignement.

Quand j'ai compris qu'on m'empecherait de te revoir, je n'ai pas pu... On m'avait enlevé une partie de moi et mon coeur criait tout le temps. Je devenais fou. D'un humour sarcastique je t'appelais dans la rue, pour faire rire les copains. JULIETTE! Juliette?
Je planais toujours mais il me manquait ma drogue, j'errais dans les rues en espérant te croiser... J'attendais sur le banc aux sorties de cinéma scrutant la foule en rêvant à toi. Jusqu'à ce qu'un gardien me demande si j'attendais quelqu'un. "Vous êtes sûr qu'il n'y a plus personne?!". "Désolé Monsieur mais vous devez partir..."
C'était trop fou, comment avait-je pu être si lâche? J'avais envie de me faire mal mais j'arrai trouvé ça trop pitoyable et facile. Il fallait que je la retrouve, c'est tout! J'allais dans les boites gays pour recroiser un ami proche d'elle fréquentait ces lieux.
Mais c'était impossible, je ne connaissais que son prénom, nous n'avions parlé que d'amour finalement. C'était devenu une quête perdue. Une de ces activités, comme jouer au loto qu'on s'acharnent à faire alors qu'on a aucune chance.

Eh pourtant... Une semaine plus tard, je m'arrétais foudroyé sur place. C'était elle! J'en avais tellement rêvé que je me demandais si tout celà avait vraiment existé. Est ce que je me trompais? Elle marchait vite, dans cette petite rue pavée. Je l'interpellais: "JULIETTE!" Cette fois mon voeux fut exaucé, car elle se retourna pour moi, surprise et contente! Je ne m'y attendais pas! Mais pendant qu'elle s'approchait je me sentis stupide, pitoyable. Comment lui dire... "Depuis que je t'ai abandonné je t'ai cherché partout car en faite je t'aime trop et je ne peux pas vivre sans toi!" ? Non c'était impossible à dire, il faut être malade pour chercher une fille dans la rue aprés s'être embrassé une fois! Elle me dit que le groupe l'a rejeté que ses vacances avec eux sont donc annulé. Elle me dit que le baisé avec mon pote ne comptait pas... Elle était enthousiaste, mais elle me voyait rester fermé. Elle attendait quelque chose mais je m'enervais contre tout le monde, disant qu'on a rien fait de mal. Les autres pensent que j'ai profité de la situation. Je lui dis d'essayer d'arranger les choses, en lui proposant mon numéro pour qu'elle me tienne au courant. Elle semblait déçu , hésitant à noter.

C'est ça l'orgueuil des mecs? Quelle saloperie, impossible d'être sincère.  Certain qu'elle m'appelerait si je comptais pour elle, je repartai tant de même avec une drole de sensation.  Je n'avais plus qu'à attendre...

Attendre... . . . . . .      .     .                   .                       .

Attendre
... . . . . . .      .     .                   .
Attendre
. . .  .  .  .   .   .       .     .                   .                      




Ton prénom dans mon portable avec 06.....vide me rendait dingue alors j'ai fini par l'effacer.

6 mois plus tard quand je t'ai revu en boite, tu semblais revoir un fantôme quand je t'ai dis bonjour, l'air de rien. Dans la soirée, je te voyais chuchoter des choses grave à l'oreille de ta copine pendant qu'elle semblait me juger du regard. Tu me regardais m'efforcer de m'amuser du coin de l'oeil, comme quelqu'un qui revoyait son boureau.Je n'ai pas osé te reparler, tu semblais avoir tourné la page. Petite page d'une nuit certe, mais qui reste pour moi une éternité. Je voulais trouver un moment pour te parler, mais tu étais avec des copains, j'étais sûr que tu m'aurai rembaré avant la moindre explication.

Si j'avais su me sentir digne de toi, je t'aurai peut être retrouvé de nouveau. Pour soulager ma conscience en te demandant pardon pour cette histoire gachée... Tu restera sur l'image que tu voudra. Mais la vérité c'est que j'ai eu beaucoup de chance et que je n'ai pas été à la hauteur.

Pensée zen: "Les maîtres ne penvent que vous ouvrir une porte. Vous devrez la franchir de votre propre élan."

Lundi 12 mars 2007 à 6:46

Où va t'on et pourquoi? Les questions qui tuent... L'humanité est sûr de disparaître à 100%? Ca me ferait bien suer tiens! Tout ça pour ...rien!? Si la vie existe et qu'elle essait de survivre il y a surement une raison. Pourquoi la pomme tombe de l'arbre? Parcequ'elle subit une force. Sauf que la vie s'échape de ses contraintes. Lorsqu'on bouge, qu'on saute , nous défions les loix de la gravité. Les formes de vie s'acharne à une chose essencielle: la survie. Par tout les moyens elle s'acroche.
Alors deux choses l'une:
- Soit notre espèce a été développé pour démultiplier la masse globale de cellule vivante pour maximiser les chances de survie de bacteries ou autre petites saloperie qu'on aurait tendance à mépriser (alors qu'elle nous survivront)... Dans cette possibilité l'humanité serait juste une réservé energétique, ou de matière.

- Soit le patrimoine génétique qu'on a accumulé en chacun de nous doit être préservé d'une manière ou d'une autre, pour trouver d'autre moyen de survies plus élaborés. Donc là on peut imaginer la nécessité à voyager dans l'espace et survivre hors de notre planête. L'humanité aurait donc un rôle majeure à jouer dans l'objectif de la vie.

Mmm je préfère la deuxième qui est plus motivante pour nous!

Les questions existencielles restant toujours posées: c'est quoi ce plan foireux de la vie? Ca nous sert à quoi de survivre? Mais surtout: pourquoi moi, pourquoi vous, pourquoi nous?! Sérieux, qui nous a invité dans cette mascarade? Bon dieu si tu existe, arrête cette blague! Fait quelque chose, fait moi un signe. N'importe quoi... Balance un com, envoit moi un SMS, assure quoi! J'aimerai savoir à qui dois-je addresser mes lettres de reclamation! (excusez moi je crois que j'ai mon portable qui vibre...)
Non, non avec moi pas de risques, apparement il n'arrive rien de miraculeux aux carthésiens. A part quelques aventures extra-sensorielles, je n'ai détecté aucun bugs, ni fonctionnement louche (excepté moi même bien sûr!)

Bref on est tous dans la même merde! Alors les réactions sont différentes mais le résultat est le même: on fini tous par mourrir. Avant ça on doit redonner le précieux flambeau aux ptits nouveaux.
On les prévient dés le départ avec une bonne fessée signifiant: t'as pas signé mais tu va quand même en chier!

Avant on était eau, carbonne, acides et autres trucs venant de rien de vivant.
Quelle est la chose qui fait qu'on est vivant? Tout notre organisme n'est que matière et energie informe, sans l'étincelle de vie brulant dans chacune de nos cellules. Apparement la vie n'est pas matière puisqu'il n'y a pas de différence de poid entre quelque chose de vivant ou de mort... Bon ça y est je recommence à me faire peur! Allez j'arrête bientôt!

A quoi notre corps sert? Physiquement: à transmettre nos gènes qui retrace toute l'évolution de la vie depuis qu'on est arrivé sur la planète. Avant on avait pas d'adn puisqu'on était bacterie? Nous, on a le privilège d'avoir une construction unique, personnalisé et tout, avec mémoire intégrée... Mais, hum, s'il y a mémoire ça veut dire qu'on s'enregistre là ?
Ma descendance devrait particulièrement bien taper au clavier et se prendre la tête alors!
Bon je déconne, mais apparement les paramêtres pris en compte ne sont pas déterminables et on ne sait pas si l'évolution suit un tracé plus ou moins prédeterminé. On en a pas encore trop vécu puisque ça fait un moment qu'on est des homo-sapiens (oui, un seul, c'est la nouvelle classification d'aprés ma soeur). Peut être que demain, on va tous avoir la tête qui aura doublé de volume pour encore plus se prendre la tête, il nous faudra peut être même un troisième bras pour la tenir! Tout ça parceque j'aurai pris le chou à trop de monde, avec mes discours fumeux!

D'ailleurs j'en vois plusieurs qui dort au fond prét du radiateur! Quelle bande de cancres dans cette cowblog académie! Ca pour ricaner bêtement entre camarade vous êtes forts, mais quand il faut se servir de son cerveau y a plus personne! Vous croyez que vous allez réussir votre vie dans ce milieu avec une attitude pareil?!
Bon, puisque apparement vous aimez les punitions, je vais devoir en punir un! Bon au hasard: Claire-de-lune je vous envoit chez le directeur qui vous tirera les oreilles en entendant vos excuses!

Les autres vous pouvez sortir... DANS LE SILENCE!

Lundi 12 mars 2007 à 6:21

Je m'offre une petite prise de tête nocturne pour me faire plaisir! Une théorie débile, ça ne coùte pas cher, et au pire ça peut faire rire les visiteurs égarés...

Bon, j'adore relativiser et modeliser les choses. J'aime définir les choses. Alors pour simplifier l'univers à l'extrême je défini le vide, l'absence d'onde, de matière et d'ernergie; et le reste... Selon certaines théories avant le big bang il y avait le néant total. Tout l'univers aurait explosé à partir d'une infime parcelle de matière. Elle se serait développé en forme de sphère jusqu'à prendre sa taille actuelle et continuerai à grandir, entrainant dans sa course les galaxies.
Si celà est vrai, quand celà va t'il s'arréter et qu'y avait t'il avant? Il semblerait que tout ce que l'on connait fonctionne par cycle. On peut se demander si celà s'est déjà produit, et si celà va recommencer. Ensuite, si un univers existe, y en a t'il d'autres?

Je me pose une autre question concernant le temps également: on sait qu'il n'est pas constant, qu'il va plus lentement au centre de l'univers qu'à ses limites, qu'il se déroule selon l'expension. Peut-il être perturbé, distordu, et existe t'il un opposé? Le complément qui parait évident est l'espace. Toutes choses doit avoir une seule place à chaque instant, il serait donc impossible de remonter le temps ou d'aller dans le futur en laissant un "double" de soit quelque part. Par contre il est peut être probable qu'on puisse accélérer ou réduire le temps pour un objet ou être vivant. Ca me fait fliper mais ça me plait

Lundi 12 mars 2007 à 1:06

Pour une, c'est presque sûr qu'elle a passé une mauvaise soirée... La pauvre déjà que je retarde la soirée pour aller voir ma bande de pote à la dernière minute, mais en plus j'oublie mon portable chez un pote (une fois de plus)! Bien sûr, comme son nom n'est pas sur la sonnette et je n'ai plus en tête son adresse, impossible de retrouver sans réveiller tout le quartier...
De mon coté, je me sens mal pour elle, je suis vraiment enervé contre moi.
Mais au final, moi j'ai passé une bonne soirée avec mes potes, et une fois de retour chez moi j'ai bien tripé sur msn.
Je me rattraperai si elle ne me tue pas avant!

Pensée zen: "Dans le zen, il n'y a pas de mauvais jours: tous les jours sont de bons jours."

Dimanche 11 mars 2007 à 7:16

Ahhh, on se sent mieux aprés une bonne gueulante! Fiouuu, c'est comme aprés l'amour... Presque... Hum ou alors j'ai dû oublier

Tout ça pour dire que moi je n'ai rien à me reprocher en ce qui concerne le basard ambiant de ce monde!
Aprés tout je n'ai rien fait, je suis un gentil moi. Bah oui! dans ma tête de base c'était bisounours land, genre j'aime tout le monde et tout... C'est krop inzuste!

Mais que faire?
Bon, déjà je vais essayer de réussir ma vie en essayant de rendre mes proches heureux, ca sera peut être plus facile que sauver l'humanité qui sait ?

Déjà faisons une bonne action un organisme qui en a marre d'être maltraité: Je vais me coucher et me concentrer pour m'endormir! Ouai, ca je peux le faire !

La vie est belle quand on avance un pas aprés l'autre

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