Marcow

Tout et n'importe quoi

Samedi 17 mars 2007 à 2:55

- D'accord, on fait la paix, on va au lit?
- Je veux bien tenter encore quelques efforts...
- Oui enfin , il faut s'y tenir. Tu va encore nous laisser tomber?
- Pfff, j'arrête quand c'est mort c'est tout!
- Tu promets toujours plein de choses, tu commences et tu arrêtes avant que ça marche vraiment. Tu ne veux pas y croire, tu n'en fait qu'à ta tête!
- Faut pas croire au père noël, ca ne sert à rien de toute façon on s'en sortira plus, c'est trop tard. On est trop mal parti, on a trop raté de chose!
- Forcement il faut toujours que tu gaches tout, tu ne m'écoutes jamais!
- J'évite juste de nous prendre les murs, tu n'en as pas mare toi d'espèrer pour rien? Ca se fini toujours de la même façon, pourquoi ça changerait?
- Fait moi confiance, on a pas eut de chance c'est tout...
- Je vais essayer mais tu va bien voir, ça va continuer de pire en pire.
- Tu nous fait du mal pour rien, arrête de nous négliger toujours plus, tu comptes aller jusqu'où?
- J'essai juste de ne plus avoir mal, me détachez de vous je ne vous supporte plus!
- Pourquoi nous rejeter toujours les fautes? Tu veux encore me faire pleurer puis m'enfermer le temps que je me calme?
- Ca ne sert à rien de se mettre dans ces états, nous fait mal pour rien et tu l'inquietes...
- Ca suffit de te l'accaparer et de lui mentir. Tu lui fait faire n'importe quoi, ça épuise tout le monde, je n'aurai jamais cru que tu étais capable de lui faire autant de mal.
- Il faut bien le dresser à obéïr, il est là à notre service il était temps qu'il le comprenne!
- NOTRE service? Le tiens oui! Tu nous fait perdre nôtre temps dans des activités futiles en nous faisant croire que c'est juste en attendant de tenir tes promesses. On a assez attendu, s'il te plait essai encore une fois.
- Tu me fait la morale, tu penses être supérieur à moi, tu veux m'emprisonner et me faire faire des choses méprisables et indigne de nous!?
- On a plus l'age de se disputer, tu as dit que tu avais foi en ce que je sais. Si tu tiens à nous, fait un pas, va le coucher et laisse moi parler avec lui, il a besoin de repos... Toi aussi.
- Oui mais attend, j'ai encore des choses à écrire sur le blog et plein d'histoire touchante qui nous ferait du bien!
- Ne gagne pas de temps, nous pourons voir ça demain tous ensemble si tu veux...?
... Arrète de rêvasser, allons-y...
- Excuse moi j'ai du mal à m'arréter... Comment va t'on faire pour s'endormir?
- Commence par te taire, tu as assez travaillé ces derniers mois, je suis fier de toi mais calme toi. Lui en a vraiment besoin, il a donné les signaux d'alertes depuis un moment. Il risque d'être blessé et d'avoir des sequelles si on continue comme ça.
- Mais non c'est du costaud!
- Tu ne laisse jamais tomber? On poura être fier de lui si on le traite correctement, qu'on l'écoute et qu'on lui donne ce dont il a besoin.
- Il nous fait suer avec ses pulsions malsaines!
- Il faut toujours que tu ramenes tout à ça?! Il est fait comme ça, ça n'a rien de malsaint c'est juste naturel...
- Si on le laisse faire, il va agir comme vulgaire animal et on va nous prendre pour quoi?
- Bien sûr, nous sommes un Etre Humain avec un rafinement, une délicatesse et une intelligence débordante! Ca pour être débordant...
- Ne m'insulte pas, j'ai toujours essayé de faire le mieux avec ce que j'avais.
- Oui tu nous a eut, nous. Là c'est toi qui nous insulte...
- Tu as gagné, allons nous coucher...

Vendredi 16 mars 2007 à 20:13

Allez ce soir je n'ai pas été invité à une soirée sympa vu que je ne sortais plus ces temps-ci.
Du coup je vais manger avec une copine que je n'ai pas vu depuis 3 mois, elle va surement me taper depuis le temps qu'elle veut me voir!

Faut arréter les soirées blog un peu... Allez je vais me raser, je sors du mode Ours du grenier. Marcow le malade est de sortie, qui sait où la soirée finira!


Passez un bon week-end!

Vendredi 16 mars 2007 à 19:40

Aujourd'hui, maintenant, tout de suite, je me sens vivant. Totalement moi, prét à sauter sans protection. Oublier la douleur, le doute, les remords, le passé, courrir vers la vie sans plus jamais m'arréter.  J'ai toujours peur mais je pourai passer à l'acte, je le sens. Je m'accorde encore quelques instants en suspension temporel, ailleurs que moi même, détaché de ce monde. Envie de faire et plus d'essayer, même si ce n'est que pour un jour et mourrir demain. M'abandonner, être esclave de ma vie. Ne plus rien contrôler, ne faire qu'un avec la vie. Etre la vie, sans jugement de valeur sur moi même. Plus de bien, plus de mal, juste moi vivant dans le monde. Plus de prise de tête, plus de recul, plus de barrière, être à nu et plonger. Libèré des chaînes, arréter le bruit et mettre la musique de la vie au volume maximum. Tout donner, juste pour exister, sans espoir de retour.

Tout arréter! Retirer le masque, enlever les pointes misent sous les pieds, dénouer la corde de mon cou, laisser mon coeur battre, arréter l'hémoragie pour enfin me lever. Arrèter de me faire du mal et empécher les autres de m'en faire tout simplement... Fier et entier, rien ne pourai plus me stopper.

Lacher prise, danser avec la vie, avant la fin... La chute sera d'autant plus douloureuse mais le crash doit se faire en beauté, avec quelques figures de style avant c'est pas plus mal.

Je peux le faire pour un soir, j'ai de l'entrainement, à bientôt les choses sérieuses?

Vendredi 16 mars 2007 à 19:07


Toute petite mais si belle...
Ne te cache-pas jolie fleur, je ne te cueillerai pas!

Vendredi 16 mars 2007 à 18:11

(Je continu la suite de mes pensées dans cette article, à propos de mon attitude rebelle)
Ce qui est abérant c'est que ça va jusque dans mes rapports avec les femmes. Si une me plait, je me met sur mes gardes car elle est assimilé à un danger potenciel pour ma liberté. Je n'aime pas que les gens ai du pouvoir sur moi et le faite d'avoir de l'attirance me met dans un été de faiblesse qui m'exaspère.
Si je suis dans une bonne période, je fait abstraction de ce sentiment et ça se passe bien. La demoiselle ne voit rien, j'ai le plaisir de passer un bon moment avec elle et ça s'arrète là... Sauf si bien sûr elle me "saute dessus", ce qui arrive de temps en temps, heureusement pour moi! (merci à celle qui savent prendre les devant pour les orgueuilleux, victime de leur propre stupidité)
Voilà, j'ai donc horreur que l'on perce à jour ce que je ressens, surtout parceque j'en fait toujours trop. Ca m'enerve de toujours réagir au quart de tour, c'est pire que tout. Je deteste être blessé pour un rien, j'ai horreur d'être en transe devant une fille et j'ai surtout horreure d'être gèné. Ca c'est m'a "spécialité", monsieur le timide-coincé de service qui voudrait s'enfuir lorsqu'on le regarde de trop prét! Qu'est ce que ça a pu me saouler ce truc! Au collège c'était l'horreur, qui ne s'est pas amusé avec ma sensibilité exacerbé à l'époque? J'aurai tous voulu les voir mourrir, parfois je rêvais qu'il y ai le feu dans cette demeure de l'enfer. Rien ne sera jamais pire que cette période. Rien car j'ai perdu une partie de moi même. Je suis mort à ce moment, le petit Marcow naïf, toujours sincère, gentillet et ne voyant pas l'intéret de se défendre; a péri, enseveli par l'égoisme, l'indifférence et la cruauté humaine.

Tellement couillon à l'époque que malgré cette agonie social, il ne voyait pas
une sortie pourtant simple: la destruction. Non, le ptit père restait dans sa bubulle en rêvant, son monde était si beau, pourquoi arréter alors qu'il était bien tout seul?

Quand je pense à mon enfance je me dis que j'étais un peu autiste quand même!
Forcement, arrivé au collège où c'était la guerre, avec la puberté qui changeait tous les rapports... Ce fut le massacre pour moi ! J'ai commencé en 6eme comme petit élève modèle bien sage, pour finir en 3eme à ne plus écouter (c'était dur vu le quartier aussi) ni prendre les cours. De toute façon j'avais décidé de ne pas mettre les lunettes alors que je ne voyais plus rien au tableau...
Dommage pour les filles, elles n'étaient pas toutes "méchantes" à se moquer ou autre mais j'avais tellement peur et pas confiance, qu'aucune n'a pu m'approcher de prét. A si j'ai quand même dû faire un bisou sur la joue lors d'un jeu débile. D'ailleurs la pauvre je l'ai revu elle est resté "vieille fille", elle a dû rater son adolescence aussi et n'est pas pressé d'avoir un homme. Quel gachi une fille aussi mignone! Dommage aussi que je l'ai revu à un mauvais moment: je sortais d'une relation terminée par ma faute. En plus vu l'image décontracté que je donne et ma vie de glandeur, ça ne donne pas envie de faire confiance pour un "premier". Surtout avec sa copine langue-de-vipère et artificielle au possible, je n'aurai aucune crédibilité. De toute façon je ne l'ai pas recroisé depuis un moment...

Enfin, à part un bisou malencontreux, qui en plus ne lui a pas faire plaisir (fallait pas en demander trop non plus ) rien de trés concret. Vu que je me faisait casser dés que quelqu'un ne me connaissait pas:
"Pourquoi tu lui parles?!
Bah il a l'air sympa...
Arrète il est débile!
Il avait pas l'air..."
Bon d'accord j'étais neuneu mais bon... Toujours est-il que la demoiselle en question ne m'a plus trop reparlé. Dommage, la compagnie d'une fofolle pareil m'aurait surement décrispé. Loupé, il a fallu attendre des années avant que je ne réabilite les filles comme des êtres non-nuisible à ma dignité d'homme... 

Vendredi 16 mars 2007 à 17:55

Toute chose possède une forme, une nature et est sujette à être soumis à des forces exterieurs, ce qui influence son mouvement et son positionnement dans l'espace.
En tant qu'être humain nous devons trouver notre propre centre pour garder un équilibre en nous même et par rapport aux autres. Il peut être changeant mais il faut le cibler et tendre vers lui.

Dans ma vie je me rend contre que je me suis souvent laissé déséquilibrer par des personnes auquelles je tenais. Toujours cette manie à faire passer l'affectif en priorité, résultat j'en veux à ces personnes qui n'y sont pour rien. J'aime m'adapter et donc changer rapidement d'équilibre de vie mais celà n'est pas trés constructif, car le train train quotidien qui attend tout le monde risque vite de m'ennuyer sévèrement...
Je voudrai tout vivre, le pire comme le meilleur, en ne gardant que le meilleur au final. J'ai peur de la stabilité car celà implique des contraintes et obligations qui sont l'ennemi de ma liberté. Voilà, c'est comme ça que j'avais compris que j'ai adopté une attitude rebelle face à la vie. Si je sais que je dois aller vers un endroit je vais dans l'autre sens.

Vendredi 16 mars 2007 à 5:22


Mmmm ché trop bon soeurette! Merchi pour tes schrounch de noel au potiron de noël au goùt venu d'ailleurs (de trés loinnnn).
T'es trop bonne cuisinière!

Euh, non jvais pas en reprendre...

(nan pas taper!)

Vendredi 16 mars 2007 à 4:43


Quelle drole d'apparence avez-vous pris aujourd'hui, esprit de la nature!
Quel est-donc ce murmure, ce bruissement insistant qui ondule au fil de vent?
Que voulez-vous tant me dire? Parlez vite je n'ai pas le temps!

Vendredi 16 mars 2007 à 4:23

Oh oui, je sens que je vais me faire plaisir là !!! Gros prenage de chou en perspective!

AVERTISSEMENT: Cette article est succeptible de vous saouler sévèrement! Aprés utilisation, si les symptômes suivant apparaîssent: allucination, trouble de la vision, vomissement, nausée, diarée, perte de conscience et autre effet indésirables encore inconnus, veuillez consulter immédiatement votre medecin traitant .

Par où commencer...? Il y a tellement de choses à dire, tellement de pensées m'assaillent...
C'est si délicat et subjectif comme sujet que je me demande comment l'introduire sans rentrer dans des clichés Manichéen.

Bref, comme je l'ai écris auparavant , pour moi l'univers est assemblé d'ensemble de choses possédant un opposé / un complément.

En plus des choses, deux forces fondamentals s'opposent en permanence également:
Celles dites créatrices, et celles  dites destructrices. Positive et négative.
Leur effet sont souvent contraire: là où l'une attire et rassemble, l'autre disperse et éloigne.Quand il y a équilibre des forces, une stabilité relative s'installe.
Dans la phylosophie oriental le concept s'en rapprochant sont le Yin et le Yang. Je préfère employer les termes bien et mal pour me concentrer sur l'ombre et la lumière appliqués à la vie et attaché à un jugement moral et ethique. Ces mots choquent plus et suscite directement des réactions plus vives. Alors avant de vous faire hérisser le poil et que l'on ne m'insulte je vais préciser quelque chose qu'il faut toujours avoir en tête.

Essayons d'avoir conscience que chacune des forces est nécessaire. Il ne faut pas avoir de préférence pour l'une ou l'autre, chacune a son utilité. Tout le monde possède un équilibre de bien et de mal en lui, et je rappel qu'il faut prendre ces mots entre guillemets (je ne vais pas le faire pour chaque)

Selon le regard porté, le bien et le mal ne sont que des mots attachés à des concepts moraux et spirituels. Ils font donc appel au regard du coeur qui est relié à la vie. Ce que nous jugerons bien, sera positif pour la vie, et mal contre la vie bien entendu.

Maintenant prenons conscience de la différence en l'action et sa résultante. En effet une action positive peut amener à un résultat négatif (aider à faire quelque chose de mal par ex). Une action négative peut entrainer quelque chose de positif (tuer quelqu'un pour protéger ses proches ou soit même de la mort est considéré comme légitime défense par la loi par exemple).
Bref on peut facilement faire le tableau binaire simple :
                      Action
                   A      B
"cible"        Bien   Mal
1  Bien       Bien   Mal
2 Mal        Mal   Bien

Pour ceux qui ont un peu de mal /flemard ou fatigué :
1A : Une bonne action sur une bonne chose est positif
2B:  Une mauvaise action sur une mauvaise chose est négatif

Parfois on veut bien faire et les choses empires malgré de la bonne volonté.
Dans l'histoire certains on se sont laisser vivre tranquilement pendant que les ennemis se préparaient. Mais je ne suis pas là pour donner des exemples, et d'ailleurs j'attend vos contre-exemples. Car je préfère passer à une nuance plus compliqué.

En effet le bien et le mal semblent ne pas avoir la même nature et le même comportement.

Le bien avance lentement mais surement, le mal attend et avance brusquement. Le bien avance avec confiance à découvert, le mal a peur et est tapis dans l'ombre.


Action:
Le bien aime, le mal déteste.

Réaction:
Le bien n'abandonne pas, le mal fuit dés qu'il doute. Le bien essait de se contenter de ce qu'il a pour être heureux, le mal veut toujours plus. 

Vision des choses:
Le mal dans l'ombre voit les nuances du mal, il est aveuglé par le bien dont il ne peut dicerner les nuances. Le bien voit les nuances du bien et ne distingue pas les nuances du mal. Le mal voit le mal partout et le mauvais coté des choses, le bien voit le bien partout et le bon coté des choses.

Relation entre les deux:
Le mal convoite le bien, le bien compati pour le mal.
Le bien accorde toujours une chance de salut au mal; le mal essait de corrompre mais n'accorde pas de pitié. Le bien respecte le mal, mais pas réciproquement.
Le bien n'est jamais pure, il contient un minuscule germe de mal en son coeur.
Le mal n'est jamais totalement impure, il a des relent de bien.

Relation aux autres:
Le bien encourage, le mal décourage. Le bien produit le maximum et partage, le mal fait le minimum et se contente des miettes. Le bien utilise des moyens positifs qui inspirent la foi pour le bien, le mal use de moyen négatifs qui font désespérer et sombre vers le mal.
Le bien nous guide, le mal nous perd.
Si l'on a besoin il faut chercher le bien pour le trouver, par hasard. Le mal vient à nous pour satisfaire nos envies ou celle qu'il créera. (méfiez vous de ceux qui viennent jusqu'à vous uniquement pour vous proposer mont et merveille).
Le mal exige l'aide des autres. Le bien propose de sauver les autres et leur tend la main, désintéressé. Le mal la prend et passe son chemin. Le mal guette, ou met les personnes en difficulté pour obtenir le maximum de profit.

Douleur:
La souffrance permanente du mal à petit feu l'aveugle et le rend fou, il n'attache d'importance à rien sauf une chose. Le bien est terrassé et pleure de douleur lorsqu'il perd une des choses auquelles il avait donné de l'importance. Le bien souffre pour les autres, le mal fait souffrir.


Apparence:
 Le mal prend l'apparence du bien, en mieux (contentons nous toujours du bien ). Le bien se méfie des apparences car il veut voir le mal dans le bien. (Ca n'est pas parcequ'on souhaite trés fort qu'une chose soit bien qu'elle le sera réellement ).

Existence:
Le mal vient aprés le bien. Le bien engendre donc le mal. Du mal jaillit le bien.

Le bien veut croire, le mal fait croire. Le bien devance les problême, le mal les contourne.
Le bien tend vers la stabilité, le mal vers le chaos

Le bien est plus fort que le mal. Le mal est rapidement plus nombreux que le bien.
.
Equilibre:
Pour imager, le symbole Yin Yang dans l'état où  il est dessiné, peut représenter un état d'équilibre entre les deux forces. Le bien et le mal s'entrelace équitablement.

J'arrète ici pour l'instant mon délire désordonné sur les différences, pour ajouter une autre dimension:
Comme tout est cyclique, que le bien ou le mal gagne tout recommence tant que la vie existe. Le mal est nécessaire pour que la vie évolue. Tout comme la mort est indispensable à la vie (non, ne me dites pas que c'est injuste, c'est pas de ma faute! )
La vie est une chose en mouvement et comme toute chose il lui faut un frein.
Le bien est trop droit, le mal est donc une injustice nécessaire? La vie n'est donc pas injuste mais elle existe, tout simplement.

Vous voulez une petite conclusion débile pour vous détendre ? Allez:
Ca serait trop bien qu'on ai que du bien... Ca serait pas plus mal qu'il y ai moins de mal?
Bon ça va, ça va, jvais prendre ma piqure et je vais me coucher...!

Vendredi 16 mars 2007 à 2:25

Je tiens juste à évoquer mon choix temporaire dans mes liens.

Bien que j'apprécie de lire, sans forcement commenter toutes sortes de blog qui me touchent, me révolte, me font réfléchir. Il y a tellement de vérités qui sorte, chacun apportant sa petite pierre.

Tenir un blog est pour moi une sorte d'expression artistique non cadrée.
Ce qui est génial, c'est la facilité et la rapidité à laquelle nous pouvons échanger nos impressions, conseils et petits commentaires débiles (ou pas...)
Je vais surement en revenir mais bon. Pour l'instant je suis fier de moi, car j'ai souvent du mal à me cadrer dans mes discutions en vrai et tout se mélange à la fin, alors que là je peux poser point par point, tranquilement de ce qui me tient à coeur. Pour l'instant, je n'ai pas mis ma tronche parceque je ne vois pas l'intéret, je suis d'accord avec clair.de.lune là dessus.

Bien qu'on ai du mal à communiquer parfois, j'aime beaucoup son style piquant. Elle arrive à se mettre en scène d'un façon marrante même sur des sujets difficile. Elle nous ouvre son coeur comme à un journal intime sans artifices. Je ne dirai pas que j'adore son blog car elle va encore penser que je l'ai jugé et mise dans une case. A croire qu'on a pas le droit de t'apprécier simplement... Elle est presque plus compliqué que moi :p

Ensuite j'ai mis en lien vers decouvreles un pure gay qui s'assume à 100%. Ses articles me font marrer et surtout j'aime ce milieu.

Dans un autre style Malvina qui a monté la barre haut dans la provocation sans tomber dans le vulgaire. Elle affirme son existence en invitant ceux qui s'arrètent aux apparences, à aller se faire voir!
Bref ce sont des personnes qui ne se prennent pas la tête pour leur blog

Voilà, ça ne veut pas dire que j'apprécie ces personnes que les auteurs des autres blog. Faut faire la part entre la valeur qu'à votre blog au yeux des autres (purement subjectif) et la valeur de votre personne. Donc, que personne ne boude, c'est juste mes coups de coeur du moment! :p

<< Page précédente | 44 | 45 | 46 | 47 | 48 | 49 | 50 | 51 | 52 | Page suivante >>

Créer un podcast