Pffff, j'ai passé ma soirée entouré de bombes. Malheureusement je ne plais qu'aux mecs. Dommage pour moi.
Dans une prochaine vie j'espère que j'aimerai les hommes, ça a l'air plus simple et je serai moins seul...
Marcow
Tout et n'importe quoi
Marcow
Tout et n'importe quoi
Mercredi 10 décembre 2008 à 18:49
Je sors d'une conversation houleuse avec une voisine. Au départ tout était polie, puis elle a insisté sur le faite qu'elle trouvait dommage que je ne travail pas. Notamment sur le regard des autres qui devait être difficile. Je lui ai dit que cela m'importait peu et que c'était mon propre regard qui était difficile à gérer.
J'ai essai de lui parler de sens de la vie et de l'avenir de l'humanité pour démontrer que ma situation importait peu pour ce qui comptait pour moi. Mais elle revenait toujours au faite qu'on a besoin d'argent pour vivre. Comme si elle remettait en question la légitimité de mes ressources.
Au final elle est parti en coup de vent, peut être déçu de ne pas m'avoir fait entendre raison.
Je retiendrai sa phrase qu'elle disait comme pour elle même: on ne peut pas empêcher les gens de juger. La manière dont elle me parlait montrait bien qu'elle faisait semblant de faire comme si j'étais quelqu'un de respectable. Alors qu'en faites elle parlait de moi comme d'un pauvre chômeur paria de la société.
Le problème pour elle n'est d'avoir aucune activité utile pour la société (car je lui ai parlé de l'assoc), mais que je ne gagne pas d'argent. Impossible de lui faire comprendre la notion de détachement matériel et d'aspiration spirituelle. Bref, j'en sors agacé et incompris. J'ai besoin de soutien et d'être rassuré, pas qu'on me dise ce que j'ai à faire...
Ah, et je rajoute une information capitale, car après tout ce blog est aussi un exutoire:
qu'elle aille se faire F*** avec ses potes moutons! Sa pitié elle peut se la garder pour elle quand il lui tombera des tuiles sur la tronche! Co***asse!
J'ai essai de lui parler de sens de la vie et de l'avenir de l'humanité pour démontrer que ma situation importait peu pour ce qui comptait pour moi. Mais elle revenait toujours au faite qu'on a besoin d'argent pour vivre. Comme si elle remettait en question la légitimité de mes ressources.
Au final elle est parti en coup de vent, peut être déçu de ne pas m'avoir fait entendre raison.
Je retiendrai sa phrase qu'elle disait comme pour elle même: on ne peut pas empêcher les gens de juger. La manière dont elle me parlait montrait bien qu'elle faisait semblant de faire comme si j'étais quelqu'un de respectable. Alors qu'en faites elle parlait de moi comme d'un pauvre chômeur paria de la société.
Le problème pour elle n'est d'avoir aucune activité utile pour la société (car je lui ai parlé de l'assoc), mais que je ne gagne pas d'argent. Impossible de lui faire comprendre la notion de détachement matériel et d'aspiration spirituelle. Bref, j'en sors agacé et incompris. J'ai besoin de soutien et d'être rassuré, pas qu'on me dise ce que j'ai à faire...
Ah, et je rajoute une information capitale, car après tout ce blog est aussi un exutoire:
qu'elle aille se faire F*** avec ses potes moutons! Sa pitié elle peut se la garder pour elle quand il lui tombera des tuiles sur la tronche! Co***asse!
Lundi 8 décembre 2008 à 11:03
3 mois que ma voiture est ouverte à tout vent. Le pire c'est que je laisse l'auto-radio et un tas de truc dedans. Par contre je ne vous dirai pas où elle se cache! Ma confiance a des limites... Ou pas. ;)
Dimanche 7 décembre 2008 à 18:48
Dimanche 7 décembre 2008 à 18:18
Depuis quelques temps déjà je trouve cet homme formidable. C'est un modèle pour moi. Il parle avec conviction, pédagogiquement et sans langue de bois. Son discours modéré permet de garder une crédibilité envers les personnes non sensibilisés à l'environnement.
Lien vers le site de sa fondation: http://www.fondation-nicolas-hulot.org/
Lien vers le site de sa fondation: http://www.fondation-nicolas-hulot.org/
Dimanche 7 décembre 2008 à 18:14
Pris d'un article de Lemonde.fr
"La FHF, qui regroupe les hôpitaux publics, relève que le taux de césariennes des 559 maternités qui prennent en charge les grossesses les moins risquées (niveau 1) en France et pratiquent au moins 200 accouchements par an varient de 9, 3% à 43,3 %.
La volonté de ne pas prendre de risques et de se prémunir contre des procès, ainsi que la multiplication des grossesses tardives expliquent également en partie la hausse continue du nombre de césariennes."
Mon avis, est qu'encore une fois les responsables préfèrent créer de la souffrance qu'avoir le moindre risque personnel. C'est la lâcheté du système qui m'écoeur.
"La FHF, qui regroupe les hôpitaux publics, relève que le taux de césariennes des 559 maternités qui prennent en charge les grossesses les moins risquées (niveau 1) en France et pratiquent au moins 200 accouchements par an varient de 9, 3% à 43,3 %.
La volonté de ne pas prendre de risques et de se prémunir contre des procès, ainsi que la multiplication des grossesses tardives expliquent également en partie la hausse continue du nombre de césariennes."
Mon avis, est qu'encore une fois les responsables préfèrent créer de la souffrance qu'avoir le moindre risque personnel. C'est la lâcheté du système qui m'écoeur.
Dimanche 7 décembre 2008 à 2:39
Hum et bien voilà, une soirée comme si de rien était. Qui plus est, avec 6 charmantes demoiselles fofolles comme j'aime. De la déconnade comme si on se connaissait depuis toujours, alors qu'on se connaissait depuis quelques heures pour certaines.
La seule ombre au tableau fut le début de soirée où je n'ai pu m'empêcher de mentir sur ma situation... La réalité est tellement horrible que je me sens obligé de m'inventer celle que je voudrai. Ce moment n'a durée que 30 sec, et pourtant je trouve cela lamentable surtout que cela doit se voir.
Tant pis, de toute façon on s'est bien éclaté. Pour les lecteurs éventuels, je raconte un peu: bouffe chez D., avec sa soeur et deux copines à elle que je ne connaissait pas, ainsi que Rod&Caro un couple d'amis. Nous avons ensuite été à un bal folk participant au téléton. J'ai beaucoup aimé danser avec certaines cavalières. Moi qui suit trés tactile, cela fait du bien de sentir quelque chose de vivant contre soit. Bon, ok les mamies je ne suis pas fan mais le plaisir doit être pour elles du coup. ^^
Bref, j'ai été trop bête. Je voulais une grande vie ou rien, mais une vie "normal" cela aurait été bien mieux que ça... D'accord je n'ai pas perdu le "coup de main" niveau social pour rattraper le coup, mais niveau timing c'est tendu.
Dans tous les cas, j'aurai grillé des années sur l'autel de la rebelion/liberté...
La seule ombre au tableau fut le début de soirée où je n'ai pu m'empêcher de mentir sur ma situation... La réalité est tellement horrible que je me sens obligé de m'inventer celle que je voudrai. Ce moment n'a durée que 30 sec, et pourtant je trouve cela lamentable surtout que cela doit se voir.
Tant pis, de toute façon on s'est bien éclaté. Pour les lecteurs éventuels, je raconte un peu: bouffe chez D., avec sa soeur et deux copines à elle que je ne connaissait pas, ainsi que Rod&Caro un couple d'amis. Nous avons ensuite été à un bal folk participant au téléton. J'ai beaucoup aimé danser avec certaines cavalières. Moi qui suit trés tactile, cela fait du bien de sentir quelque chose de vivant contre soit. Bon, ok les mamies je ne suis pas fan mais le plaisir doit être pour elles du coup. ^^
Bref, j'ai été trop bête. Je voulais une grande vie ou rien, mais une vie "normal" cela aurait été bien mieux que ça... D'accord je n'ai pas perdu le "coup de main" niveau social pour rattraper le coup, mais niveau timing c'est tendu.
Dans tous les cas, j'aurai grillé des années sur l'autel de la rebelion/liberté...
Samedi 6 décembre 2008 à 17:42
Texte pris sur www.lemonde.fr
"Quelles sont vos relations politiques avec Declan Gaynley ?" demande Dany Cohn-Bendit. Vaclav Klaus se tourne vers Hans-Gert Pöttering : "Pouvez-vous interrompre M.Cohn-Bendit et donner la parole à un autre député ?" Le président du Parlement n'en fait rien. "M. le président, vous avez pris position publiquement en Irlande en faveur de Declan Ganley, cette question est légitime." Extraits du dialogue qui suit : Vaclav Klaus : "Personne ne jamais parlé ici sur ce ton. Vous n'êtes pas sur les barricades de Paris. Je n'ai jamais entendu quelque chose d'aussi insolent dans cette salle !" Dany Cohn-Bendit : "Forcément, c'est la première fois que vous me rencontrez dans cette salle…" Vaclav Klaus : "Si je vous demandais comment les Verts se financent, on en apprendrait de belles." Dany Cohn-Bendit : "Je ne vous ai pas demandé comment vous vous financiez mais quelles étaient vos relations politiques avec Declan Ganley. C'est curieux que vous l'associez à une question de financement." Vaclav Klaus : " La manière dont Daniel Cohn-Bendit me parle, c'est exactement la manière dont parlaient les Soviétiques". Hans-Gert Pöttering : " Comparer l'Union européenne à l'URSS est inadmissible ! " Vaclav Klaus : " Je parlais d'une manière d'intervenir…" Hans-Gert Pöttering : " Nous n'intervenons pas avec des chars "
Samedi 6 décembre 2008 à 14:05
En effet, ce n'est pas Garou...
Alors je préfère vous le dire, je n'aime pas trop ce genre de délire mais c'est FOLInEi qui est fan...
Alors je préfère vous le dire, je n'aime pas trop ce genre de délire mais c'est FOLInEi qui est fan...
Samedi 6 décembre 2008 à 0:17
Il s'appelle Pierre, le héro de la guerre du Golf. Je n'osais pas lui redemandais nom et prénom après les présentations, alors cela faisait des semaines que je faisais sans.
Aujourd'hui, j'ai donc été à l'assoc où j'avais rdv à 14h. J'ai fait la moitié du chemin en voiture, et le quart en courant pour être à l'heure. Mais, ironie du sort il n'était pas là. La petite Danielle qui donne des cours de braille à l'accueuil avait l'air surprise et j'étais génè du coup. Car je me suis dis que je m'étais surement trompé dans l'horraire. Puis Pierre est arrivé, à la demi. Nous sommes monté, puis Martin est arrivé. Il faisait des distribution, ou des appels aux dons auprés des commercants du coin. D'ailleurs quand il m'a proposé d'en donner, j'ai refusé car je n'aime pas ces démarches liés à l'argent. Pourtant, c'est sûr, il faut du matériel pour agir nottament à mon niveau.
Aujourd'hui, j'ai donc été à l'assoc où j'avais rdv à 14h. J'ai fait la moitié du chemin en voiture, et le quart en courant pour être à l'heure. Mais, ironie du sort il n'était pas là. La petite Danielle qui donne des cours de braille à l'accueuil avait l'air surprise et j'étais génè du coup. Car je me suis dis que je m'étais surement trompé dans l'horraire. Puis Pierre est arrivé, à la demi. Nous sommes monté, puis Martin est arrivé. Il faisait des distribution, ou des appels aux dons auprés des commercants du coin. D'ailleurs quand il m'a proposé d'en donner, j'ai refusé car je n'aime pas ces démarches liés à l'argent. Pourtant, c'est sûr, il faut du matériel pour agir nottament à mon niveau.
Bref, nous avons donc fait une mini-réunion. Je m'inclus dedans puisque j'y ai assisté, mais c'était surtout eux qui parlait. Ca m'a fait plaisir d'être integré si rapidement et être mélé à des questions du plus haut niveau. Ils doivent penser que j'ai l'abittude de se genre de chose...