Marcow

Tout et n'importe quoi

Mercredi 5 novembre 2008 à 19:45

C'est super, je n'osais pas y croire!

http://marcow.cowblog.fr/images/obama200.jpg

Mardi 4 novembre 2008 à 17:39

Eh bien, comme je me doutais il n'a pas fallu longtemps pour qu'elle donne signe de vie. Vers 11h elle m'a envoyé un sms me proposant de faire un tour en ville mercredi. Pourquoi je reste déprimé, je me sens prisonnier, prét à tout abandonné avant d'avoir commencé. 
Comme d'habitude en faite...

Lundi 3 novembre 2008 à 19:46

Cette nuit j'ai rêvé que j'étais en cours et que je ne comprenais rien. Toute mon attention était portée sur mes émotions: stress, honte etc. J'ai également rêvé de Shirley qui voulait revenir avec moi sous condition que je ne vois plus aucune fille...

Enfin, j'ai surtout envie de parler de cette histoire qui finalement ne commence pas. C'est sûr si je n'avais pas merdé jeudi dernier, les choses auraient surement évoluées. Celà fait plus d'une semaine que nous nous échangeons des textos en tout genre, pourtant elle n'est pas aussi pressé de me voir que moi. Pour lui proposer de bonnes soirées, elle est partante mais celà semble être par amitié. Hier j'ai fini par lui demander directement si elle voulait qu'on se voit, et elle m'a répondu: dans la semaine. Le truc bien vague qui veut tout et /ou rien dire...

Bref, je suis complétement dégouté, je me sens seul et mourrant. Hier soir j'avais envie d'appeler Joel pour me consoler, mais j'ai zappé. Je le ferai peut être ce soir, pour ne pas penser à celle dont je me suis déjà attaché avant même qu'on ne sorte ensemble... Un vieux fond de dépendance affective qui remonte, comme d'hab. 

En réaction je vais essayer de m'en détacher pour ne pas souffrir. Celà risque d'être drole si elle était effectivement intéressé mais avait une raison de ne pas précipiter les choses... Sisi, ça s'est déjà vu!

Samedi 1er novembre 2008 à 18:22

Comme demandait ma soeur ironiquement: "Y aurait-il un problême de deuil dans cette famille?". Me voilà rassuré, il n'y a pas que moi...

Par curiosité j'ai été jeté un oeil à ce sujet. Pris sur http://www.prevention.ch/lepreuvedudeuil.htm, en gardant les passages qui m'interessent.

Chaque deuil est différent en raison de la relation unique qui unissait l'endeuillé à la personne disparue, mais tous les deuils suivent le même cours au travers de trois étapes :

ima25207.gif (95 octets)C'est d'abord le choc de tout l'organisme sur tous les plans : émotionnel, physique, relationnel. Il est particulièrement net en cas d'accident ou de mort brutale ou inattendue, mais il existe aussi dans les maladies graves à l'annonce du pronostic fatal à terme.
ima25207.gif (95 octets)Un état de dépression réactionnelle lui succède assez rapidement. C'est un authentique état dépressif avec son atteinte habituellement modérée de l'état général sous forme de troubles de l'appétit, de la sexualité et du sommeil, d'une intense fatigue et d'une souffrance profonde avec désintérêt pour le monde ambiant, difficultés de fonctionnement et d'intenses inhibitions.
ima25207.gif (95 octets)Ce n'est que bien plus tard qu'apparaît le soulagement, d'abord au cours des rêves.

signification psychologique du deuil


ima25207.gif (95 octets)La reconnaissance de la réalité de la perte. Elle n'est pas immédiate. La reconnaissance est porteuse de détresse et de souffrance. Sans souffrance il n'y a pas de deuil.

ima25207.gif (95 octets)Le renforcement des liens intérieurs avec la personne perdue. Toute la vie de la personne en deuil y est consacrée. C'est au travers de la reviviscence des souvenirs que s'effectue le nécessaire travail de détachement vis-à-vis de personne disparue.

ima25207.gif (95 octets)La prise en compte des sentiments inconscients de culpabilité. La difficulté vient plutôt du renoncement à un avenir commun qui n'est plus possible.

Le deuil peut-il s'aggraver ?

La santé physique des femmes est atteinte dans de bien moindres proportions. L'explication vraisemblable de cette différence se trouve dans le fait que les hommes, surtout les plus âgés, ne savent pas manifester leurs émotions douloureuses; ils ont habituellement tendance à se renfermer, à transférer sur un excès de travail, un abus d'alcool ou de tabac.


Sur le plan de la santé mentale : des manifestations bruyantes et désordonnées durant les premiers temps du deuil n'engendrent pas nécessairement de complications.
Au contraire, la principale et première complication psychologique du deuil est son absence : l'endeuillé ne paraît pas souffrir; il n'en montre rien; il n'en parle pas. Il semble continuer comme si de rien était. Mais nous savons que le deuil est inévitable et obligatoire et qu'il devra se manifester un jour ou l'autre d'une manière ou d'une autre. Les absences apparentes de deuil sont très préoccupantes.
Les autres complications psychologiques du deuil sont constituées par l'échec des mouvements psychiques qui doivent normalement s'opérer :
  • le refus de la réalité n'est pas dépassé ; il devient un déni
  • l'intériorisation ne donne pas lieu à séparation mais à la poursuite d'une vie illusoire avec le défunt à l'intérieur de soi, des identifications négatives se font jour, en particulier avec les symptômes de la maladie de la personne perdue,
  • des sentiments inconscients de culpabilité trop forts entraînent, par projection, la peur de la vengeance du mort, la crainte des revenants et des mauvais esprits.

C - Sur le plan du comportement, le deuil se complique essentiellement par la prise de risques pouvant conduire au suicide, à la mort par accident et par des ennuis d'importance variable.

Toutes les personnes fragiles de manière habituelle ou fragilisées temporairement par des circonstances particulières, que ce soit sur le plan de la santé physique, de l'équilibre mental ou de l'insertion sociale sont sujettes à ressentir plus durement les effets traumatisants du deuil.
Les personnes à risque sont :
  • les malades, que ce soit physiquement ou mentalement,
  • les personnes présentant des troubles de la personnalité sans pathologie mentale déclarée,
  • les personnes immatures qui entretiennent des relations marquées par une grande dépendance et une intense ambivalence,
  • toutes les personnes solitaires et isolées.

Les difficultés proviennent ainsi :

  • des circonstances tragiques de la perte, accident, catastrophe, assassinat, morts multiples, disparitions, etc.
  • une circonstance du décès rend également le deuil plus difficile: c'est le cas du suicide,
  • de la nature de la personne disparue : le deuil d'un enfant est toujours très difficile même s'il était encore très petit

Les enfants et les adolescents sont, en matière de deuil, des populations à risque qui méritent une attention toute particulière. La perte d'un de ses parents par un enfant est un drame qui désorganise son monde intérieur et sa vie concrète. Son avenir dépendra de la capacité du parent survivant à faire normalement son deuil, à accompagner correctement celui de son enfant, de la possibilité pour ce dernier de pouvoir lier par la suite des relations affectives stables et harmonieuses avec un adulte qui deviendra peu à peu un parent de remplacement.

Samedi 1er novembre 2008 à 13:03

Tiens, en ce moment je lis la trilogie "Millénium" de Stieg Larsson. C'est une série d'enquète: bien écrit, clair, léger avec des sujets interessants. Que du bonheur. Ca se passe dans un milieu de journalisme économique avec une héroïne marginale et surdouée.

Samedi 1er novembre 2008 à 12:57

Marrant, mon dernier rêve de tout à l'heure était une reflexion sur un truc de malade. A savoir s'il était possible de faire du base jump à partir d'un mini-bus aménagé. Genre avec des trous dans le plafond pour que chacun sorte par là.
Pourquoi en suis-je venu à penser ça? Eh bien suite à un rêve qui se déroulait dans un bus, et où il y avait plusieurs personnes interessantes et bienveillantes. C'était marrant, il y avait Christophe M. un lointain collègue qui me faisait encore un peu la gueule et il avait un tas de cordage pour faire de l'escalade. En effet le trajet s'était passé plus ou moins en montagne. Sinon la fin de la journée une prof s'emmelait les pinceaux à cause de la fatigue. On lui excusait s'en amusant. Il y avait plusieurs prof et l'un d'eux m'avait conseillé de commencer tôt à exercer pour acquérir des mécanismes.

C'était des rêves plutôt sympa donc. Par contre j'ai un mal de tête plutôt coriace, comme une sorte d'inflamation. Je me demande ce qui peut bien être à l'origine de ces douleurs. En parlant de santé, c'est toujours étrange j'ai régulièrement mal dans la partie du coeur. Hier il suffisait que j'appuie en face entre les deux côtes pour que je ressente une douleur. Bizare, quand je bouge il n'y a aucun problême. On vera bien comment ça évolue, de toute façon en ce moment ce n'est pas mon soucis.

Lundi 27 octobre 2008 à 23:20

Ah ça refonctionne! Tant mieux car je voulais résumer ma soirée de samedi. Finalement ce n'est pas A. que j'ai "attaqué" mais une fille que j'avais rencontré il y a un an prénommé M. Bon elle a déjà un enfant et est divorcé. Mais même si elle est en dehors de mes préférences idéales elle a une lueur dans le regard qui me plait. Un petit air malicieux, un sourire craquant: c'est tout ce coté gamine joueuse qui fait que c'est autre chose. Quand elle me regarde de cette façon complice, c'est comme si elle savait qui j'étais dans le fond. Il n'y a pas à dire il y a un truc qui passe, au delà des mots. Alors tant pis pour A. qui malgré son physique avantageux n'a pas ce quelque chose de plus qui donne du sens à une relation.

Enfin pour l'instant on échange des sms, car j'ai fait l'effort de demander à D. son numéro. Je lui avais dit que si elle voulait me contactait elle pouvait passé par elle mais j'en ai marre de toujours laissé à l'autre l'entière responsabilité pour garder contact. J'essai d'arréter de compter sur le faite que si la fille est intéressée elle est prét à tout pour démarrer une relation.

Aprés tout je suis un mec, et la première des choses à faire est de proposer. Symboliquement celà montre le respect et l'attention qu'on accorde aux envies et besoin propres de la personne. La femme est sensée disposer, ce qui est plutôt naturel (je ne vous fait pas un dessin)... Enfin c'est surtout que celà reflète mieux ma façon de vivre en couple, car on m'a souvent fait la remarque que j'étais beaucoup plus affectueux et attentionné que je ne le laissait paraître. Sur le coup je ne l'avais pas forcement bien pris, mais c'est évident...

Bref, en l'occurence elle avait l'air bien contente que je la contact! Marrant aprés mon 1er texto elle me répond une 1ere fois, et comme j'étais occupé je ne répond pas de suite et 30 min aprés elle m'en renvoit un... Soit elle est impatiente, soit elle était pressée que je réponde. ^^

Enfin, concrêtement c'est encore une histoire de fou dans lequel je m'embarque. J'aurai pu "choisir" plus simple comme histoire....

Lundi 27 octobre 2008 à 21:26

Grrrmpfff mon blog est inaccessible depuis plusieurs jours c'est scandaleux!

Dimanche 19 octobre 2008 à 3:39

Ahhh A....a, quelle jolie nom pour une jolie fille. Ça fait du bien de passer un bon moment et faire connaissance avec de charmantes personnes. Marrant que depuis le temps que je connais Delph je n'ai pas rencontré cette ravissante amie. C'est marrant, c'est toujours quand je suis en mode pépère que je tombe sur une fille qui m'interesse. Enfin j'ai bien réagis sur ce coup, je pense n'avoir rien laissé paraître. De deux chose l'une, ou ça m'évite de passer pour un mec pas sûr de lui (et donc me griller), ou le cas le plus probable de préserver ma dignité. D'accord elle est quasi existente mais à mon stade préserver mon égo est vital. Je la reverai en boite la semaine prochaine puisque les filles ont prévue ça ce soir. Il faudra que j'évite de faire mon sport de la semaine comme je fait d'abitude. Histoire de ne pas être en sueur et surtout pour ne pas m'isoler dans un délire qui ne représente pas bien qui je suis en temps normal. Enfin, comme je le sens je vais être tenté de l'ignorer totalement pour ne pas risquer d'être déçu en m'attendant à quelque chose.

Plus je tiens à avoir quelque chose plus j'ai peur de ne pas l'avoir, comme si j'avais quelque chose à perdre. Totalement absurde.

Vendredi 17 octobre 2008 à 18:59

"Déconnez pas les gars, c'est vrai que ça défoule de taper sur quelqu'un mais je ne suis pas aussi con que j'en ai l'air!" C'est à peu-prêt comme ce rêve s'est terminé après m'être fait coursé par une bande voyous. Comment j'en suis arrivé là? C'est logique, jugez par vous même:

Tout à commencé alors que j'étais parti voir des connaissances de ma sœur, quand mon père appela au téléphone. Apparemment il voulait que je le rejoigne car il y avait un événement qu'il jugeait intéressant de partager avec moi. Comme j'étais bien où j'étais je lui ai fait comprendre que je ne viendrai pas. Toujours de façon à ce qu'il comprenne que je ne suis plus à sa disposition. Son plaisir n'est pas toujours le mien.

Toujours est-il que je faisais connaissance avec les amies ou et collègues de ma sœur. J'étais bien et déconnait avec quelqu'un ayant le visage entièrement recouvert entre capuche et col de manteau. Bizare, je n'ai pas compris la signification de cette image, mais toujours est-il que celà m'a fait pensé à un Murlock un créature mascote du monde de world of warcraft. J'en imitait même le cri caractéristique: c'est beau les rêves au niveau social on peut faire n'importe quoi sans avoir honte! En tout cas il y avait une demoiselle canon qui m'interessait à 200% qui était distante au début. Puis j'ai éveillé son attention avec une parole pertinante sortie naturellement. (On est loin de la réalité) De là, je ne sais pas trop pourquoi j'ai dû bouger et me suit retrouvé dans un bâtiment dont je n'arrivais plus à trouver la sortie.

C'était délirant, des pièces collez les unes aux autres de façon insensés. Il y avait comme des entreprises, des gens qui travaillait et se demandait ce que je faisais ici. Alors je me dépèchais de trouver des issus. A un moment j'ai même voulu passé par une petite fenêtre ressemblant étrangement à celle de ma salle de bain qui débouche sur la chambre où je dors. Juste au dessus de mon lit. Enfin je me sentais angoissé, pressé de sortir en urgence alors que j'étais prisonnier.

Mais j'ai fini par trouver et c'est en voulant rejoindre ma voiture, en passant par une petite route menant au parking que des mecs hostiles ont essayé de m'accoster. Sans attendre je suis parti en courant, mais une bande m'attendait cachée dans la direction où j'allais. D'aprés ce que je comprenais ils voulaient juste se défouler sur le premier couillon dans mon genre qui passerait.

Contre toute attente, j'ai réussi à sympatiser en me mettant de leur coté, puis je me suis réveillé!

Ce rêve m'a bien fait tripé, et encore j'en ai oublié par mal. Il y a des messages de l'inconscient assez intéressants sur des thèmes varriés.

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