Marcow
Tout et n'importe quoi
Mercredi 26 novembre 2008 à 23:38
Pour ma soeur ce mot est ridicule et n'est qu'un tas d'idée reçu découlant de la pression social. Tout comme la féminité. Je n'étais absoluement pas d'accord... et vous?
Mercredi 26 novembre 2008 à 22:09
<Bip bip>
"- On dirait que tu n'es pas pressé de me voir?
- Lundi j'ai fait ci, mardi ça, mercredi ceci, aujourd'hui celà, et demain j'ai rendez-vous avec bidule
- Je parlais d'envie pas de possibilité... Après j'ai surtout l'impression qu'il se passe encore des choses avec ton "ex", j'espère que je me trompe.
- <pas de réponse>
- Alors je ne compte pas sur toi ce we, je sors avec le groupe?
- Non je suis avec ma fille"
MMMpppppppppffffff!
Vendredi 21 novembre 2008 à 21:51
Mardi 18 novembre 2008 à 12:59
Mardi 18 novembre 2008 à 1:48
Je persiste, je continue à me désintéresser de ma vie. Je n'arrive pas à y croire, j'ai beau me débattre j'attend toujours la mort. J'ai peur de tomber encore plus bas. J'aimerai disparaître avant d'être une loque, un déchet de la société, un marginal. Pour l'image que j'avais de moi, mais surtout pour ceux qui ont crut en moi.
Au pire des cas je devrai changer de ville que personne ne soit au courant étant donné que je ne terminerai pas physiquement cette vie volontairement. En même temps cela serait la meilleur chose de ne plus exister, c'est une insulte pour tout ceux qui y croit. Comme on m'a rapporté une fois, je suis peu être bien quelqu'un de malsaint. J'essaie d'échanger de l'affection avec d'autres, alors que je sabote plus ou moins discrètement ma vie.
Je voudrai compter pour des gens que j'estime mais je n'arrive pas à m'aimer. Si on me parle de mes problêmes je dis qu'il faudrait que je vois un psy. Pourtant je fait tout sauf faire la démarche. Malgré mon aspiration à une élévation spirituel, je suis incapable de mettre mon orgueuil de coté pour concevoir de demander de l'aide sur ce plan. Je semble préférer mourrir que de me considérer incapable et impuissant concernant ma destiné.
Dommage, j'aurai aimer rendre ce monde meilleur.
Mais je suis faible...
Lundi 17 novembre 2008 à 15:51
Enfin elle doit s'en foutre, après tout elle a son "officiel" chez elle. Je devrais me considérer comme célibataire mais bon j'ai dû mal à intégrer ce genre de situation.
A coté de ça, Jeremy un pote gay chez qui j'ai passé mon samedi soir m'a fait une déclaration. Ca fait plaisir, car il est mignon et interessant, malheureusement je ne suis absoluement pas branché mec.
Enfin je ne comprend ce qui ne va pas chez moi en dehors de ma vie social... En écrivant celà je me dis que celà peut préter à faire rire, car il est évident que ce que l'on fait de sa vie joue sur les relations. Mais j'estime que ma valeur et celle des autres ne se résume pas à nôtre status dans la société.
Si quelqu'un a un avis là dessus, je suis preneur.
Lundi 10 novembre 2008 à 3:36
Rien à voir, mais je viens de lire un article sur les opositions de nôtre identité, celà m'a fait réfléchir sur moi même. Ce que j'aurai envie de commenter vaudrait pour moi. Car bien que je sais déjà que ma vie ne correspond pas à ce que je suis vraiment. Le faux Marcow a pris la première position et je le l'admire au lieu de le haïr... Il est fort, détaché, prévisible. Avec lui, pas de risques, d'echecs, déceptions et autres souffrances existenciels: c'est un robot. Il est pour ainsi dire déjà mort puisqu'il se moque des rêves, des passions, des coups de coeur.
Enfin peu importe, ce n'est pas moi mais personne ne fait la distinction... Personne ne me connait, mais le pire est que même moi j'ai honte du vrai Marcow. C'est sûr que dans ce monde de requins, le vrai Marcow est trop fragile pour survivre seul. Le faux l'a secouru et utilise ses capacités pour passer son temps à se rassurer, à parader en montrant ses capacités. Sauf qu'il est creux. C'est derrière ces apparences que survie cette créature que je n'arrive pas à aimer: le vrai Marcow.
En y pensant celà me rend triste. Malgré la bulle qui enjolive mon existence je me méprise toujours autant. Je ne me fait pas confiance. Je me déteste en secret tout simplement...
Vendredi 7 novembre 2008 à 15:50
Il commence à être grand temps de mettre un peu de pratique à mes convictions humanistes! En parlant de celà, je réfléchi à ce que deviendra mon corps à ma mort. Je n'ai pas encore passé le cap pour donner mes organes mais celà me paraît une bonne chose. Pour le reste j'aimerai un enterrement écolo, comme ils font en angleterre. Redonner simplement sa masse biologique à l'echo-système. Entouré d'un linceul biodégradable et mis en terre à même le sol.
Vendredi 7 novembre 2008 à 2:50
On doit se voir samedi soir, mais elle m'a demandé également ce que je faisais vendredi soir... Sinon, elle est effectivement timide ce qui explique certaines choses. Par contre elle n'a pas l'air super futée, mais c'est peut-être qu'une apparence. Enfin ce ne sera surement pas la femme de ma vie, cependant celà s'en approche. En point positif elle a développé son coté artiste, elle prend des cours de dessin et a joué de plusieurs instruments de musique.
En tout cas, de son coté elle a tout l'air d'avoir bien accroché et peut-être même déjà amoureuse qui sait. Ce soir elle m'a dit que ça n'allait pas, notamment elle s'était encore disputé avec son futur-ex. Bon je déconne mais je le sens un peu comme ça. Je n'aurai pas de scrupule à briser ce couple, car elle montre clairement qu'elle n'est pas bien avec. Même si ça ne dure pas, moi au moins je l'aimerai et essairai de la rendre heureuse comme je pourai.
J'ai hâte de pouvoir la prendre dans mes bras, lui faire des calins et lui donner de la tendresse. Elle a l'air d'en avoir besoin, et risque même d'aimer ça. C'est toujours un immense satisfaction de voir le bien être que je procure la première fois que je passe en mode calinage suprème. :-p Oui, l'expression est niaise mais j'ai le mérite de l'avoir inventé. Etrangement les moments les plus forts pour moi ne sont pas forcement dans les rapports sexuels, ce qui n'est pas normal pour un homme.
N'empèche qu'ils doivent s'en rappeler et avoir en tête ce qu'est la tendresse. C'est pour moi un don d'amour physique, sans attente, ni finalité. Il n'y a pas de but à atteindre, juste le bonheur d'être ensemble et honorer le corps comme il se doit. Ca commence par une légère caresse, l'air de rien. Sur un bras, ou ce qui est à porté de main. Comme pour apprivoiser l'autre on continue à parler comme si de rien était. On progresse jusqu'à ce que la communication soit établit entre les corps. On se rapproche, on se prend les mains et testons la douceur de sa peau. Comme si on les redécouvrait et s'en emmerveillant. "C'est beau une main en faite...!" Se dit t'on bêtement. Eh oui, à un certain stade tout devient beau. La vie prend des couleurs, la magie fait son oeuvre.
Une fois en confiance, on peut explorer le dos, les jambes, les parties plus larges et "neutres" (bien entendu sinon ça peut déraper trop tôt :-p ). S'il y a besoin, un petit massage pour détendre. Passé par la nuque, c'est une bonne base pour partir à la conquète de la chevellure. Ah j'adore, plongé mes mains dans cette océan de douceur. Il m'est arrivé de m'y perdre des heures. Au plus grand bonheur de la demoiselle qui se demandait si je n'en avais pas marre, car elle culpabilisait de reçevoir autant sans donner. Sur le moment je ne pense plus à moi et suis totalement concentré sur le resentit de l'autre.
En effet, pour moi le calinage c'est de l'art pure! Celà demande inspiration et écoute de l'autre totale. Chaque geste et unique, et la sensation éphémaire ce qui fait toute la beauté du moment. J'adore voir l'emmerveillement dans des yeux surpris, puis ouvertement avides et finalement comblés. C'est le relachement total, et les barrières tombent. Quand la communion est totale, les sens ne sont plus éveillés à la sexualité. Le désir remonte alors seulement s'il a lieu d'être, sans obligation.
Parfois malheureusement, la demoiselle est d'autant plus pressée que celà dérappe. Car étrangement on dirait que c'est lorsqu'on a réussit à dépasser le stade du besoin sexuel masculin que tout devient possible.
Celà je ne l'ai pas inventé, il a déjà été dit que c'est parfois lorsque l'on renonce à quelque chose qu'on a l'opportunité de l'obtenir. Reste après à savoir la saisir lorsque c'est le moment... Mais je dévie de mon sujet, ce qui me parait naturel étant donné l'heure tardive!
Moi qui voulait m'offrir une nuit raisonnable c'est raté! D'autant plus que je compte bien savoir ce qu'il va advenir de Lisbeth Salander dans le 3 tomes de Millénium.
Bonne nuit copain Blog. ^^