Marcow

Tout et n'importe quoi

Mardi 7 avril 2009 à 12:25

Hier je me suis excusé auprès de Jo et ai mis à plat les accrochages avec une "ancienne" amie. Ca a bien assainit ces relations, il faut continuer comme ça!

Dimanche 5 avril 2009 à 14:50

Je suis zen, détendu. Hier pourtant j'ai appris que deux amis étaient en galère. Certes la musique y est peut-être pour quelque chose, je tourne sur de l'Ambient pour changer. Je m'apprête à me reposer, du fait que j'ai peu dormit cette nuit. J'ai eut du mal à trouver le sommeil, du coup j'ai lu jusqu'à très tard (peut être 3/4h je ne sais pas) et réveillé vers 10h.
C'est peut-être l'annonce d'une prochaine mission qui me met sur le pied de guerre. C'est peut-être le début d'une nouvelle air. Je ne sais plus trop bien où j'en suis...

Mercredi 1er avril 2009 à 1:40

- 2eme épisode de Dexter de la saison visionné
- Little Dolls d'Indochine tourne dans mon casque

Pour Dexter je trouve intéressant la façon dont le scénario tente à démontrer que même qu'un tueur psychopathe pour trouver un équilibre et cherche un épanouissement personnel tout en restant bénéfique pour l'univers.
L'acteur joue assez bien, même si tout est fait pour que le client/consommateur accroche. Enfin Dexter s'efforce de simuler des émotions normales par son attitude. Moi je m'efforce de cacher mon émotivité et ma faiblesse. C'est classique, tout le monde fait ça plus ou moins mais je l'envie un peu.

Même si mes techniques sont assez efficaces, elles demandent de fuir ce qui me rend faible. Eh oui, c'est bien bête car c'est ce qui me touche, l'authenticité qui met à jour tout mon cinéma. En effet, la scène doit se passer de préférence dans le noire.

Les effets de lumières sont invisibles face à la lumière solaire. Les fumées enveloppantes et les parfums artificiels sont dispersées par les grands vents. Face à la vérité, le comique de mon masque de clown est pitoyable. Derrière mon mystère il n'y a rien, ou peut être un concentrer de vide.

Je ne sais pas ce qu'on peut voir en moi pour ceux que j'arrive à charmer. Ma comédie leur plait elle? Se voient-ils en moi? Ou peut-être que c'est mon vide intérieur qui attire... Foutaise, encore une fois. C'est surtout à moi que je raconte des histoires. En même temps il faut bien quelques artifices pour que j'arrive à m'aimer. Non, la vérité est que les gens m'aiment lorsque je suis moi même. Sauf que je le suis quand je vais bien. Hors lorsque cela arrive c'est temporairement, et la suite gache tout.

Belle divertion encore une fois, et puis quoi? Mon introspection me ramene vers les mêmes problématiques basiques et je fini par conclure que je ne peux m'en sortir seul. Je dois voir un professionnel! Au lieu de cela j'allimente ma souffrance en cultivant mon sentiment d'abandon, empétré dans mes soucis relationnels. La dépendance affective reste omniprésente. La liberté est bien douloureuse lorsque l'on s'est construit sous l'emprise de quelqu'un.

Pu***, quoi que je dise, peu importe la justesse de mon analyse je ne vois aucune solution! Je suis conditionné à l'autodestruction. Je suis un robot esclave abandonné par ses anciens maîtres. Mon existence n'a pas de sens, mes rêves sont irréalisables, mes envies et besoin insatisfaisables. Je suis incapable de vivre pour moi et n'ai pas assez de force pour servir les autres: ma survie me demande trop d'efforts.

Pendant ce temps, l'heure tourne et j'ai toujours mal. Demain je dois donner un cours d'info à la secrétaire de l'asso puis filer voir mon père. Je vais avoir du mal à me lever. Fatigué de ne rien faire... Quelle merde

Mardi 31 mars 2009 à 21:41

Aujourd'hui je n'ai pas été assuré le cours d'informatique que je devais donner. Je ne voulais pas sortir de chez moi, j'étais mal et déprimé. J'ai essayé de prévenir, mais elle m'a tout de même attendu car n'a pas eut le message. Je devrais culpabiliser d'avoir posé un lapin à une aveugle, mais j'arrive à le relativiser. Elle au moins a une fonction dans cette société, une famille, des enfants. Eh puis après tout qui m'aide moi quand je vais mal?

Mes "amis"? C'est sûr, j'aime quand ils me donnent le remède à tous mes maux: trouve du boulot, une copine et de la stabilité. Ma soeur a tout compris quand elle m'incite à changer de domaine professionnel: "Je te verrai bien dans la restauration!". Pour les amours elle est assez efficace: "Oublie ça, tu n'en a pas besoin pour être heureux si tu t'occupes bien et que tu as de bonnes amitiés".

Quand a celles qui m'ont soit disant aimé, maintenant qu'on est plus ensemble je n'existe plus... Moi je tiens encore à elle(s) (je pense à une en particulier mais je ne me fou pas de toutes les autres), mais ce n'est peut être pas normal, ou bien c'est encore une particularité des mecs de ne pas bien savoir tourner la page...

Enfin, au final ce n'est pas de leur faute, je suis cassé depuis longtemps. Je suis malade et personne ne le sait. Heureusement, il ne manquerait plus que je fasse peur ou pitié. Je ne laisserai pas comme image de moi un victime, un faible qui n'a pas su encaisser les difficultés de la vie.

Mardi 31 mars 2009 à 2:37

J'ai voulu parler de ce film dans un autre article car il le mérite. Il m'a vraiment touché, surtout par sa conclusion "positive"!
Qu'est ce que j'aurai aimé avec une mère qui partage ma souffrance, me sert dans ses bras et me disant qu'elle m'aime...
Enfin, à cette époque je n'ai pas été du coté de ceux qui découvre la vie du coté trash: percing, tabac, flirt etc. Je trouvais d'ailleurs ça pitoyable, je pensais qu'ils se trompaient, tel un jeune garçon bien élevé...

Si j'avais su! J'en aurai insulté des profs, détérioré du matériel, rabaisser les autres, paraître dur et me rapprocher des filles (j'aurai peut être gagné quelques années qui sait...). J'aurai peut-être moins garder et entrenue cette vieille haine qui m'est resté.

Enfin pour revenir au film, j'ai coupé les moments où elle se scarifie c'est trop dur pour moi. Les acteurs sont bons, même si je trouve que les deux héroïnes font plus agés que leur age. Mais bon c'est peut être un apprioris, j'ai parfois du mal à bien définir les ages. Aprés tout ma soeur a commencé a avoir de la poitrine en 6eme.

Bref, il est trop tard et je n'écris plus rien d'intéressant. Je vais donc me coucher, c'est mieux.

Mardi 31 mars 2009 à 2:19

Ca continue, c'est infernal. Qu'est ce que je morfle à retourner dans cette non-vie!

Même la nuit je fait des rêves trés particuliers.
Par exemple -chose inédite lors de mon sommeil- un moment passé avec mon père dans le contexte de nôtre relation actuel (positive donc), Sauf qu'il se mélangeait avec le contexte professionnel récent où il était dans le rôle de mon chef et il m'encourageait à faire des horaires de dingue qui n'était pas raisonnable pour ma santé. Tout ceci dans une ambiance joyeuse mais légerement destructrice. Logique dés que mon père rentre en scène, ce fut tout le même mon plus grand ennemi.

Un autre où je devais me battre avec quelqu'un et que j'ai littéralement pulvérisé. Comme dans un jeu vidéo il n'en restait plus qu'une sorte de boulette rouge, quand j'envoyais sur le reste de mes adversaires en fuite. J'ai analyse ça comme un gain de puissance, à l'opposé de l'impuissance récurante dans mes rêves jusqu'à présent.
Eh oui, malgré une vie semblant etre au point mort j'avance, je m'éppanouie d'une certaine façon. Je deviens un homme, chose que j'aurai dû acquerrir depuis l'adolescence. Que ce soit pour la sexualité ou pour me défendre, je prend de l'assurance et ressent un certain controle.

Objectivement je devrais en être satisfait, mais dans la réalité à mon age c'est pitoyable. Il est beaucoup trop tard sur tout les plans!

Enfin, aujourd'hui j'ai seché les cours. En effet j'avais le morale à zéro, notamment parceque mon ordinateur n'était pas en état de fonctionnement. Hier j'ai purifié mon système, mais je n'avais pas tout ce qu'il fallait pour réinstaller. J'ai dû attendre le coup de fils de Matt pour remettre les choses en état. Maintenant c'est tout beau tout neuf dans la machine. J'ai fait également du ménage. J'ai envie de tout purifier dans ma vie. De faire tout bien pour enfin commencer à avoir la vie que je devrais mener. Une vie...normale en quelque sorte.

Samedi 28 mars 2009 à 13:47



Show us Your Habits, Your Facts, Your Fears
Give us your address, your shoe size, your years
your digits, your plans, your number, your eyes
your skedule, your desktop, your details, your life.
Show us your children, your photos, your home.
Here, take credit, take insurance, take a loan.
Get a job, get a pension, get a haircut, get a suit.
Play the lottery, play football, play the field, sports to boot

We want your Soul x5
(in background...Your Cash, Your House, Your Phone, Your Life, Your Cash, Your House, Your Life)

Here's programmes, here's matters, here's Britney, here's Cola
Here's pizza, here's TV, here's some rock and some rolla
Watch commercials, more commercials, watch Jerry, not Oprah
Buy a better life from the comfort of your sofa
Here's popcorn, here's magazines, here's milkshake, here's blue jeans
here's padded bras, here's long cars, here's football shirts, here's baseball caps
here's live talk shows, here's video games, here's cola lite, here's Timberlake
here's fingertips, here's colegen, here's all night bars, here's plastic

We want your soul x5
(In the background...Your Cash, Your House, Your Phone, Your Life, Your Cash, Your House, Your Life)
(Break)


Your cellphone, your wallet, your time, your ideas
No barcode, no party, no iodine, no beers
your bankcard, your license, your thoughts, your fears
no simcard, no disco, no photo, not here
your blood, your sweat, your passions, your regrets
your office, your timeoff, your fashions, your sex
your tits, your pass, your face, your ass.

Lundi 23 mars 2009 à 1:27

Pourquoi est-ce que je continue à venir ici? Je pourrai écrire que je regrette de ne pas avoir tenté l'aventure avec Séverine et que je dois rattraper ça. Mais ce n'est pas vraiment la vérité et il n'y a qu'à agir, pas en parler...

Je suis seul, j'ai peur, j'ai besoin d'aide

Mercredi 18 mars 2009 à 19:09

Il n'y a pas d'autre définition à ce que je ressens. J'ai besoin d'affection, de sentir quelqu'un vivant qui m'aime contre moi.
Les temps morts dans ma vie sont... mortels. Mais je dois tenir, alors je mange pour combler le vide. Peut-être qu'un jour...

Vendredi 13 mars 2009 à 11:23

Voilà, j'y suis. Le destin m'a donner l'opportunité de sortir du doux enfer dans lequel je m'étais laissé glisser. Un certain nombre de choses vont mieux, mais les douleurs existentiels sont plus vives et soudaines. De plus cette situation est temporaire, et il y a encore beaucoup de choses à régler pour retrouver une vie équilibrée.

<< Page précédente | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 | 13 | 14 | 15 | 16 | Page suivante >>

Créer un podcast